Le prix de l’huile a connu une hausse. Le bidon de 20 litres a passé de 15 000 à 17 000 F CFA soit une hausse de 2.000 F CFA. Le Directeur exécutif de l'Union nationale des commerçants et industriels du Sénégal (Unacois-jappo), Ousmane Sy Ndiaye, a apporté quelques précisions sur la question. Selon lui, « cette hausse est conjoncturelle et est liée essentiellement à la situation du cours mondial de l’huile à partir du pays d’importation ».
« Il y a eu hausse effectivement. Elle est conjoncturelle. Elle est liée essentiellement à la hausse du cours mondial de l’huile à partir du pays d’importation. Il faut signaler que l’essentiel du besoin de marché à hauteur de 60 à 70 % est importé à partir du marché international. Et c’est seulement le reste qui est importé à partir de la sous-région. Si bien qu’il arrive effectivement de manière conjoncturelle que le marché local, subisse les situations du cours mondial au niveau international », a expliqué Ousmane Sy Ndiaye.
Mais, a-t-il souligné, c’est un chemin qu’il va falloir corriger. «En réalité, cette huile, dont le prix a légèrement flambé, est une huile d’origine de palme. Donc, ça vient de l’huile de palme. Naturellement, c’est un chemin qu’il va falloir corriger».
Le Directeur exécutif de l'Unacois-jappo de revenir sur le vrai problème que rencontre les consommateurs sénégalais : « Si on est capable d’assurer une production arachidière à près de 2 millions de tonnes, en réalité, nous devons nous donner les moyens d’approvisionner notre marché intérieur en matière d’huile alimentaire. Mais il s’avère que l’huile d’arachide a un prix peu compétitif qui n’arrive pas justement à se faire accepter par le consommateur sénégalais. Voilà la question de fond à laquelle nous sommes confrontés », peste-t-il sur Walf radio.
« Il y a eu hausse effectivement. Elle est conjoncturelle. Elle est liée essentiellement à la hausse du cours mondial de l’huile à partir du pays d’importation. Il faut signaler que l’essentiel du besoin de marché à hauteur de 60 à 70 % est importé à partir du marché international. Et c’est seulement le reste qui est importé à partir de la sous-région. Si bien qu’il arrive effectivement de manière conjoncturelle que le marché local, subisse les situations du cours mondial au niveau international », a expliqué Ousmane Sy Ndiaye.
Mais, a-t-il souligné, c’est un chemin qu’il va falloir corriger. «En réalité, cette huile, dont le prix a légèrement flambé, est une huile d’origine de palme. Donc, ça vient de l’huile de palme. Naturellement, c’est un chemin qu’il va falloir corriger».
Le Directeur exécutif de l'Unacois-jappo de revenir sur le vrai problème que rencontre les consommateurs sénégalais : « Si on est capable d’assurer une production arachidière à près de 2 millions de tonnes, en réalité, nous devons nous donner les moyens d’approvisionner notre marché intérieur en matière d’huile alimentaire. Mais il s’avère que l’huile d’arachide a un prix peu compétitif qui n’arrive pas justement à se faire accepter par le consommateur sénégalais. Voilà la question de fond à laquelle nous sommes confrontés », peste-t-il sur Walf radio.