Les professionnels du secteur de la pêche artisanale sont unanimes et formels par rapport à l’implantation des usines de fabrication de farine de poison au Sénégal. En conclave à Mbour, ils ont indiqué que c’est une catastrophe pour le secteur de la pêche.
« Le problème de la farine de poisson est assez simple, pour avoir 1 kg de farine, il faut avoir 5 kg de poissons frais ; pour avoir 1 kg de poisson d’élevage, il faut avoir 25 kg de poisson frais », a informé Gaoussou Guèye, Président de l’Association pour la responsabilisation des acteurs de la pêche artisanale maritime (APRAPAM) avant de dénoncer le manque total de réglementation.
Selon le membre de la plateforme des acteurs non-étatique de la pêche artisanale et de l’aquaculture au Sénégal, Gaoussou Guèye, « on dit que chaque sénégalais doit consommer 29 kg de poisson par an. Mais ce n’est pas possible dans les localités comme Sédhiou où on n’arrive même pas à consommer 7 kg de poisson l’année ».
Pour lui, ces usines sont une catastrophe pour le pays, non seulement pour la ressource, mais aussi pour la santé des populations des endroits où ces usines pollueuses sont implantées, rapporte « Libération ».
« Le problème de la farine de poisson est assez simple, pour avoir 1 kg de farine, il faut avoir 5 kg de poissons frais ; pour avoir 1 kg de poisson d’élevage, il faut avoir 25 kg de poisson frais », a informé Gaoussou Guèye, Président de l’Association pour la responsabilisation des acteurs de la pêche artisanale maritime (APRAPAM) avant de dénoncer le manque total de réglementation.
Selon le membre de la plateforme des acteurs non-étatique de la pêche artisanale et de l’aquaculture au Sénégal, Gaoussou Guèye, « on dit que chaque sénégalais doit consommer 29 kg de poisson par an. Mais ce n’est pas possible dans les localités comme Sédhiou où on n’arrive même pas à consommer 7 kg de poisson l’année ».
Pour lui, ces usines sont une catastrophe pour le pays, non seulement pour la ressource, mais aussi pour la santé des populations des endroits où ces usines pollueuses sont implantées, rapporte « Libération ».