Les données de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ont confirmé que plus de 180 millions de couples dans les pays en développement (un sur quatre couples) souffrent d’infertilité primaire ou secondaire en Afrique. Cette infertilité est causée par des infections chez plus de 85 % des femmes, comparativement à 33 % dans le monde.
La stigmatisation sociale de l’infécondité, en particulier pour les femmes infertiles, mène toujours à l’isolement et la stigmatisation existe dans de nombreuses cultures. Selon Dr Enertie Gwet Bell, il y a 20 % des cas de d’infertilité où on ne retrouve pas les causes.
« Les maladies sexuellement transmissibles non traitées, l’avortement clandestin, les conséquences des infections, la pratique des mutilations génitales, l’exposition au tabac, la mauvaise nutrition sont les causes de l’infertilité », dit-il.
Le Premier ministre Mohammad Boun Abdallah Dionne qui a pris part à la rencontre de Dakar, estime que la que la Fondation Merck s’intéresse à un domaine très complexe et sensible socialement, en l’occurrence l’infertilité. « En prenant à bras-le-corps cette question, et son impact sur la qualité de vie des personnes concernées, Merck mène un combat de haute portée sociale dont la finalité est de faire recouvrir à la femme son autonomie, son épanouissement et l’exercice de son plein droit en matière de santé », a souligné le PM dans les colonnes du journal « L’As ».
La stigmatisation sociale de l’infécondité, en particulier pour les femmes infertiles, mène toujours à l’isolement et la stigmatisation existe dans de nombreuses cultures. Selon Dr Enertie Gwet Bell, il y a 20 % des cas de d’infertilité où on ne retrouve pas les causes.
« Les maladies sexuellement transmissibles non traitées, l’avortement clandestin, les conséquences des infections, la pratique des mutilations génitales, l’exposition au tabac, la mauvaise nutrition sont les causes de l’infertilité », dit-il.
Le Premier ministre Mohammad Boun Abdallah Dionne qui a pris part à la rencontre de Dakar, estime que la que la Fondation Merck s’intéresse à un domaine très complexe et sensible socialement, en l’occurrence l’infertilité. « En prenant à bras-le-corps cette question, et son impact sur la qualité de vie des personnes concernées, Merck mène un combat de haute portée sociale dont la finalité est de faire recouvrir à la femme son autonomie, son épanouissement et l’exercice de son plein droit en matière de santé », a souligné le PM dans les colonnes du journal « L’As ».
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