« 14274 réfugiés et 2 914 demandeurs d’asile de différentes nationalités, ont été enregistrés au Sénégal en 2015», informe le haut commissariat des Nations-Unies.
Par ailleurs, l’ONG (IRRI) International Refugee Rights Initiative dénonce dans un communiqué le système d’asile sénégalais plus particulièrement la procédure de détermination du statut de réfugiés.
Pour Boubacar Sèye, d’Horizon sans frontière : « aujourd’hui, le monde est mimé par des crises qui sont dûes à un enchevêtrement de facteurs endogènes et exogènes qui n’échappent pas aux tensions géo-économiques mondial. Il y a une crise migratoire ou encore une crise humanitaire dans l’histoire de l’humanité qui a déplacé plus de 60 millions de personnes à travers le monde, notamment au Sénégal».
De poursuivre, «aujourd’hui, il est temps, encore une fois, d’interpeller la communauté internationale, les Nations-Unies… sur le sort des ces réfugiés par rapport aux conventions qui sont en train d’être violées (comme la convention de Genève de 1951 sur les droits des réfugiés). Ces conventions sont aujourd’hui violées par ceux qui les ont signés».
M Sèye de conclure sur les ondes de Walfadjri : « Il faut recadrer le débat dans un contexte mondiale, d’interdépendance ou globalisation et de mondialisation et redéfinir une nouvelle règle des migrations internationales ».
Par ailleurs, l’ONG (IRRI) International Refugee Rights Initiative dénonce dans un communiqué le système d’asile sénégalais plus particulièrement la procédure de détermination du statut de réfugiés.
Pour Boubacar Sèye, d’Horizon sans frontière : « aujourd’hui, le monde est mimé par des crises qui sont dûes à un enchevêtrement de facteurs endogènes et exogènes qui n’échappent pas aux tensions géo-économiques mondial. Il y a une crise migratoire ou encore une crise humanitaire dans l’histoire de l’humanité qui a déplacé plus de 60 millions de personnes à travers le monde, notamment au Sénégal».
De poursuivre, «aujourd’hui, il est temps, encore une fois, d’interpeller la communauté internationale, les Nations-Unies… sur le sort des ces réfugiés par rapport aux conventions qui sont en train d’être violées (comme la convention de Genève de 1951 sur les droits des réfugiés). Ces conventions sont aujourd’hui violées par ceux qui les ont signés».
M Sèye de conclure sur les ondes de Walfadjri : « Il faut recadrer le débat dans un contexte mondiale, d’interdépendance ou globalisation et de mondialisation et redéfinir une nouvelle règle des migrations internationales ».