Le regroupement des taximans de Kaolack a décidé de paralyser le système de transport interurbain, si leur camarade arrêté par un policier reste dans les liens de détention. Ils interpellent les autorités étatiques à réagir à fin que leur camarade soit libéré le plus tôt possible.
« Le vendredi passé un policier avait arrêté notre camarade à qui il a demandé son permis. Ce dernier lui a dit, c’est vous qui avait pris mon permis. Le chauffeur lui a montré sa carte d’identité qu'il a confisquée en lui demandant d’aller le récupérer au commissariat. Et le chauffeur lui a dit qu'il n’ira pas sans pièce. Après quelques minutes, le policier vient lui trouver là ou on s’assoit, il a giflé le camarade et l’insulté aussi. Cela n’est pas normal. Entant qu'autorité, il vient comme ça en public pour tirer une balle», dénonce Adama Mbengue leur porte-parole.
Poursuivant il précise : « Ils disent que lundi, il sera déféré. Si on le défère, nous les chauffeurs de Kaolack, nous n’allons pas travailler. Nous demandons au Procureur si on lui amène l’enfant demain, qu'il le libère. Nous interpellons l’Etat du Sénégal à travers le ministre de l’Intérieur, Aly Ngouye Ndiaye de nous aider. Nous lui demandons de réagir par rapport à ce qui se passe ici à Kaolack. Si non nous les chauffeurs de Kaolack, nous allons garer tous les véhicules. Personne ne va travailler », rapporte Walf radio.
« Le vendredi passé un policier avait arrêté notre camarade à qui il a demandé son permis. Ce dernier lui a dit, c’est vous qui avait pris mon permis. Le chauffeur lui a montré sa carte d’identité qu'il a confisquée en lui demandant d’aller le récupérer au commissariat. Et le chauffeur lui a dit qu'il n’ira pas sans pièce. Après quelques minutes, le policier vient lui trouver là ou on s’assoit, il a giflé le camarade et l’insulté aussi. Cela n’est pas normal. Entant qu'autorité, il vient comme ça en public pour tirer une balle», dénonce Adama Mbengue leur porte-parole.
Poursuivant il précise : « Ils disent que lundi, il sera déféré. Si on le défère, nous les chauffeurs de Kaolack, nous n’allons pas travailler. Nous demandons au Procureur si on lui amène l’enfant demain, qu'il le libère. Nous interpellons l’Etat du Sénégal à travers le ministre de l’Intérieur, Aly Ngouye Ndiaye de nous aider. Nous lui demandons de réagir par rapport à ce qui se passe ici à Kaolack. Si non nous les chauffeurs de Kaolack, nous allons garer tous les véhicules. Personne ne va travailler », rapporte Walf radio.
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