«Ce projet est particulièrement important pour les pays de la face atlantique du continent africain en ce sens qu’il pose les bases du déblocage du potentiel économique des côtes africaines », a déclaré Abou Bamba, coordonnateur régional de la Convention d’Abidjan qui revenait sur l’objectif de ce projet.
Sur ce, il a expliqué que cette Convention permettra aux Etats-membres de mettre en place des «cadres stratégiques de gestion intégrée des océans qui prennent en compte toutes les composantes impliquées notamment : l’énergie, l’aviculture, la pêche, le tourisme, etc…, dans le but de créer de la richesse et de la distribution», soutient le coordonnateur régional de la convention d’Abidjan.
Et d’ajouter : « «Le projet proposé vise à améliorer la conservation des écosystèmes marins, de la biodiversité, et l’utilisation durable des ressources », explique Abou Bamba qui soutient que c’est dans le long terme que l’utilisation des services de l’écosystème permettra de jeter les bases d’une approche intégrée de gestion des zones marines qui soit adoptée par les pays de la Convention d’Abidjan».
Marilyn Diarra, directrice de l’Environnement et des Etablissements classiques, abonde dans le même sens : «la question de la protection de l’environnement est devenue, de nos jours, une problématique de premier ordre, au regard des multiples catastrophes naturelles auxquelles l’humanité fait face". "Il s’agit de la déforestation, de la rareté des ressources fauniques et halieutiques, de la pollution dont les causes sont en grande partie imputables à l’action de l’homme", liste-t-elle.
Avant de poursuivre : «En outre, la prolifération des déchets toxiques dans la nature et la multiplication des foyers de pollution de l’air, des eaux et du sol constituent un risque environnemental patent au regard du développement de notre tissu industriel».
Selon elle, «si rien n’est fait pour freiner cette forte pression exercée sur l’environnement et les ressources naturelles, les conséquences du changement climatique pourraient provoquer la disparition de plusieurs milliers d’espèces», avertit-elle. Et c’est dans ce sens que «face à cette situation à risque, la Communauté Internationale a sonné l’alerte à travers l’émergence du concept de développement durable et l'engagement des pays à gérer les ressources naturelles».
Les 22 pays côtiers (de la Mauritanie jusqu’à l’Afrique de l’Ouest) qui sont partie prenante de la convention d’Abidjan vont bénéficier de ce projet qui va durer 4 ans avec un financement de sept (7) millions d’euros.
Sur ce, il a expliqué que cette Convention permettra aux Etats-membres de mettre en place des «cadres stratégiques de gestion intégrée des océans qui prennent en compte toutes les composantes impliquées notamment : l’énergie, l’aviculture, la pêche, le tourisme, etc…, dans le but de créer de la richesse et de la distribution», soutient le coordonnateur régional de la convention d’Abidjan.
Et d’ajouter : « «Le projet proposé vise à améliorer la conservation des écosystèmes marins, de la biodiversité, et l’utilisation durable des ressources », explique Abou Bamba qui soutient que c’est dans le long terme que l’utilisation des services de l’écosystème permettra de jeter les bases d’une approche intégrée de gestion des zones marines qui soit adoptée par les pays de la Convention d’Abidjan».
Marilyn Diarra, directrice de l’Environnement et des Etablissements classiques, abonde dans le même sens : «la question de la protection de l’environnement est devenue, de nos jours, une problématique de premier ordre, au regard des multiples catastrophes naturelles auxquelles l’humanité fait face". "Il s’agit de la déforestation, de la rareté des ressources fauniques et halieutiques, de la pollution dont les causes sont en grande partie imputables à l’action de l’homme", liste-t-elle.
Avant de poursuivre : «En outre, la prolifération des déchets toxiques dans la nature et la multiplication des foyers de pollution de l’air, des eaux et du sol constituent un risque environnemental patent au regard du développement de notre tissu industriel».
Selon elle, «si rien n’est fait pour freiner cette forte pression exercée sur l’environnement et les ressources naturelles, les conséquences du changement climatique pourraient provoquer la disparition de plusieurs milliers d’espèces», avertit-elle. Et c’est dans ce sens que «face à cette situation à risque, la Communauté Internationale a sonné l’alerte à travers l’émergence du concept de développement durable et l'engagement des pays à gérer les ressources naturelles».
Les 22 pays côtiers (de la Mauritanie jusqu’à l’Afrique de l’Ouest) qui sont partie prenante de la convention d’Abidjan vont bénéficier de ce projet qui va durer 4 ans avec un financement de sept (7) millions d’euros.