Conclu le 27 novembre dernier à Istanbul entre le président turc, Recep Tayyip Erdogan, et Fayez al-Sarraj, chef du Gouvernement libyen d'union nationale (GNA), le texte dénoncé par les Etats-Unis, l'Union européenne, l'Egypte et Israël permet à la Turquie de revendiquer des droits sur de vastes zones de la partie orientale de la mer Méditerranée, peut-on lire sur le site de la Rfi.