La Suisse a adressé un message surprenant à ses ressortissants qui se trouvent au Sénégal pour les inviter à rentrer chez eux en cas de maladie ou de blessure. « En dehors des grandes villes, les soins médicaux et les services de secours ne sont pas assurés ou sont très limités. Les hôpitaux privés exigent une garantie financière avant de traiter les patients. En cas de maladie ou de blessure grave, il est recommandé de retourner en Suisse pour se faire soigner », lit-on dans le site de l’ambassade de la Suisse au Sénégal.
La Suisse occupe la troisième place dans le classement de l’indice de propriété Legatum alors que le Sénégal occupe la 110e sur 164 pays. Par ailleurs, l’ambassade suisse a averti ses ressortissants en leur recommandant d’éviter les zones frontalières avec le Mali, car le risque d’enlèvement est élevé. De même que les zones frontalières avec la Mauritanie. « Dans les régions de Matam et de Tambacounda, dans la zone frontalière avec la Mauritanie, le risque d’enlèvement ne peut être écarté. Faites preuve d’une grande prudence », alertent les autorités suisses.
Pour ce qui est de la Casamance, l’ambassade suisse prévient ses ressortissants contre les rebelles. « Les rebelles sont repliés dans la forêt des zones situées à la frontière avec la Guinée-Bissau et la Gambie, où ils se livrent à des activités illégales d’abattage de bois et de contrebande. Des attaques contre des personnes civiles ne sont pas à exclure. Et la région compte encore de nombreuses zone minées souvent mal signalées », note le document parcouru par "Les Echos".
La Suisse occupe la troisième place dans le classement de l’indice de propriété Legatum alors que le Sénégal occupe la 110e sur 164 pays. Par ailleurs, l’ambassade suisse a averti ses ressortissants en leur recommandant d’éviter les zones frontalières avec le Mali, car le risque d’enlèvement est élevé. De même que les zones frontalières avec la Mauritanie. « Dans les régions de Matam et de Tambacounda, dans la zone frontalière avec la Mauritanie, le risque d’enlèvement ne peut être écarté. Faites preuve d’une grande prudence », alertent les autorités suisses.
Pour ce qui est de la Casamance, l’ambassade suisse prévient ses ressortissants contre les rebelles. « Les rebelles sont repliés dans la forêt des zones situées à la frontière avec la Guinée-Bissau et la Gambie, où ils se livrent à des activités illégales d’abattage de bois et de contrebande. Des attaques contre des personnes civiles ne sont pas à exclure. Et la région compte encore de nombreuses zone minées souvent mal signalées », note le document parcouru par "Les Echos".