«Je suis toujours affectée par le tragique décès de ma grande sœur, Maty Mbodj. Un an après, ma plaie est intacte. Je n’arrive pas à me faire à cette situation même si je sais qu’elle ne reviendra plus », confie Arame.
Interrogée par «l’Observateur », la sœur du défunt mannequin morte dans de tristes circonstances en juillet 2015, indique que «Maty, au-delà d’être (sa) sœur aînée, était vraiment tout pour elle». Venant tout juste après Maty, Arame de poursuivre : «On a habité sous le même toit quand je faisais mes études en Tourisme. C’est pourquoi je refuse de croire toutes les rumeurs qui ont suivi sa mort». «Toutes les hypothèses qu’on a avancées sont infondées, dénuées de sens fondement », marque-t-elle en précisant «ne plus la savoir en vie me touche mais ce que me fait le plus mal, ce sont les absurdités colportées sur son compte. C’était insupportable et ahurissant pour moi, à tel point que je passais mon temps sur les réseaux sociaux, histoire de savoir ce qui se disait… ».
«J’aurais pu tout accepter sauf qu’elle usait de substances illicites et c’est pareil chez tous les autres membres de la famille», soutient Arame Mbodj qui indique que «tous autant (qu’ils sont) ont été dépassés par la tournure des événements et pris de court par les racontars sur les circonstances de sa mort». La sœur persiste et signe : « Maty n’était pas une mauvaise personne et il ne faut pas que les gens retiennent d’elle, une droguée comme on l’a dépeinte».
«Maty me considérait comme sa fille, d’ailleurs, je la surnommais «maman». Ce n’est pas parce que nous avons le même sang que je dis ça mais elle était la bonté personnifiée. Je ne vois pas sur cette terre, une personne aussi gentille qu’elle. Elle était très jalouse et possessive. Elle ne voulait pas que je file du mauvais content et m’interdisait de sortir. Puisqu’elle était célèbre dans le mannequinat, milieu mal vu chez certains, elle ne voulait pas qu’on dise que j’étais sous son influence…Lorsqu’elle recevait des visites, elle n’acceptait même pas que ces personnes entrent dans la maison. Elle les recevait dehors ou sur le pas de la porte, de crainte que je ne fasse la même chose…C’est au Maroc que j’ai appris son décès…J’étais tellement perturbée que je ne tenais pas en place, j’ai démissionné de l’agence de voyage qui m’employait… », raconte cette dernière qui affirme que «d’après leur avocat, Me Sall, l’affaire est toujours pendante devant la Justice… ».
Interrogée par «l’Observateur », la sœur du défunt mannequin morte dans de tristes circonstances en juillet 2015, indique que «Maty, au-delà d’être (sa) sœur aînée, était vraiment tout pour elle». Venant tout juste après Maty, Arame de poursuivre : «On a habité sous le même toit quand je faisais mes études en Tourisme. C’est pourquoi je refuse de croire toutes les rumeurs qui ont suivi sa mort». «Toutes les hypothèses qu’on a avancées sont infondées, dénuées de sens fondement », marque-t-elle en précisant «ne plus la savoir en vie me touche mais ce que me fait le plus mal, ce sont les absurdités colportées sur son compte. C’était insupportable et ahurissant pour moi, à tel point que je passais mon temps sur les réseaux sociaux, histoire de savoir ce qui se disait… ».
«J’aurais pu tout accepter sauf qu’elle usait de substances illicites et c’est pareil chez tous les autres membres de la famille», soutient Arame Mbodj qui indique que «tous autant (qu’ils sont) ont été dépassés par la tournure des événements et pris de court par les racontars sur les circonstances de sa mort». La sœur persiste et signe : « Maty n’était pas une mauvaise personne et il ne faut pas que les gens retiennent d’elle, une droguée comme on l’a dépeinte».
«Maty me considérait comme sa fille, d’ailleurs, je la surnommais «maman». Ce n’est pas parce que nous avons le même sang que je dis ça mais elle était la bonté personnifiée. Je ne vois pas sur cette terre, une personne aussi gentille qu’elle. Elle était très jalouse et possessive. Elle ne voulait pas que je file du mauvais content et m’interdisait de sortir. Puisqu’elle était célèbre dans le mannequinat, milieu mal vu chez certains, elle ne voulait pas qu’on dise que j’étais sous son influence…Lorsqu’elle recevait des visites, elle n’acceptait même pas que ces personnes entrent dans la maison. Elle les recevait dehors ou sur le pas de la porte, de crainte que je ne fasse la même chose…C’est au Maroc que j’ai appris son décès…J’étais tellement perturbée que je ne tenais pas en place, j’ai démissionné de l’agence de voyage qui m’employait… », raconte cette dernière qui affirme que «d’après leur avocat, Me Sall, l’affaire est toujours pendante devant la Justice… ».
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