Afrik'IA a été officiellement lancé ce mardi à Dakar. Cet événement marque le début d'une nouvelle ère pour l'intelligence artificielle au Sénégal. Selon Dr. Ibrahima SYLLA, l’IA représente une occasion de ‘’rattraper le retard technologique et de promouvoir’’ l'innovation locale.
« Aujourd’hui, l'intelligence artificielle suscite des débats à l’échelle internationale. L'intelligence artificielle (IA), n'est plus un concept futuriste réservé aux grandes puissances mondiales. Elle est devenue une réalité incontournable qui impacte tous les secteurs de la société, de l'éducation à la santé, de l'agriculture à la gouvernance. L’IA offre une opportunité unique de repenser nos méthodes de travail, de transformer nos économies et de relever les défis complexes de notre époque. Pour des pays comme le Sénégal, l’IA représente une occasion de rattraper le retard technologique, de promouvoir l'innovation locale et d’assurer une croissance inclusive et durable », a déclaré Dr. Ibrahima SYLLA, enseignant Chercheur à l'Ucad.
Intervenant sur la politique de l'État du Sénégal en matière de numérique, le Directeur général de l'Institut SABDARIFA soutient : « Je salue ici la politique proactive du Sénégal en matière de transformation numérique. Le lancement de la Stratégie Nationale pour l’Intelligence Artificielle (SNIA) en janvier 2024 témoigne de la volonté de l'État de positionner notre pays comme un leader régional dans le domaine de l'innovation technologique. Le gouvernement, sous la direction du président de la République, a pris des mesures décisives pour intégrer l'IA dans les politiques publiques et soutenir l'entrepreneuriat numérique. C'est dans cet élan que nous inscrivons notre initiative Afrik'IA, car nous croyons fermement que l'IA peut être un levier de développement pour notre nation et pour tout le continent africain ».
La contribution de Afrik'IA IA Made in Sénégal
Afrik'IA se veut le fer de lance d'une IA "Made in Sénégal". Selon Dr. Ibrahima SYLLA, cette intelligence artificielle (IA) « tient compte des réalités locales, des défis spécifiques et des potentialités inexplorées de nos territoires », dit-il. Avant d’ajouter : « Notre mission est de concevoir des solutions d'intelligence artificielle générative adaptées aux besoins des secteurs stratégiques tels que l’éducation, l’agriculture, la santé, et la gouvernance territoriale. Nous croyons en une IA éthique, inclusive et accessible, qui répond directement aux attentes des utilisateurs locaux…. Nous ouvrons un nouveau chapitre dans l'histoire de l'innovation technologique au Sénégal », informe l’enseignant-chercheur UCAD.
Prenant la parole, Diamé Signaté, Directeur général de l'agence de Développement Social (ADS) soutient que : « Entre le docteur Sylla et l'ADL, c'est quand même une amitié vieille de 14 ans qui vient d'être, comme vous l'avez dit, sanctionnée par une signataire de convention. Nous fondons beaucoup d'espoir sur cette convention-là. C'est pour, en quelque sorte, confiner vraiment une de nos missions fondamentales qui est l'information territoriale, mais surtout aussi, il y a le territoire sur le volet numérique. Donc, nous avons espéré qu'avec sa collaboration, ce sont des outils qui sont davantage confinés... Maintenant, je lui ai dit que nous irons vers e-communautaire, e-participation, etc. Donc, voilà de façon concise les attentes que nous avons. Maintenant, c'est pour vous dire aujourd'hui que l'ADL est là. Nous sommes dans l'administration. Nous sommes positionnés derrière le ministre pour quand même essayer de prendre en compte toutes les politiques locales qui vont désormais se traduire au niveau de nos collectivités locales ».
« Aujourd’hui, l'intelligence artificielle suscite des débats à l’échelle internationale. L'intelligence artificielle (IA), n'est plus un concept futuriste réservé aux grandes puissances mondiales. Elle est devenue une réalité incontournable qui impacte tous les secteurs de la société, de l'éducation à la santé, de l'agriculture à la gouvernance. L’IA offre une opportunité unique de repenser nos méthodes de travail, de transformer nos économies et de relever les défis complexes de notre époque. Pour des pays comme le Sénégal, l’IA représente une occasion de rattraper le retard technologique, de promouvoir l'innovation locale et d’assurer une croissance inclusive et durable », a déclaré Dr. Ibrahima SYLLA, enseignant Chercheur à l'Ucad.
Intervenant sur la politique de l'État du Sénégal en matière de numérique, le Directeur général de l'Institut SABDARIFA soutient : « Je salue ici la politique proactive du Sénégal en matière de transformation numérique. Le lancement de la Stratégie Nationale pour l’Intelligence Artificielle (SNIA) en janvier 2024 témoigne de la volonté de l'État de positionner notre pays comme un leader régional dans le domaine de l'innovation technologique. Le gouvernement, sous la direction du président de la République, a pris des mesures décisives pour intégrer l'IA dans les politiques publiques et soutenir l'entrepreneuriat numérique. C'est dans cet élan que nous inscrivons notre initiative Afrik'IA, car nous croyons fermement que l'IA peut être un levier de développement pour notre nation et pour tout le continent africain ».
La contribution de Afrik'IA IA Made in Sénégal
Afrik'IA se veut le fer de lance d'une IA "Made in Sénégal". Selon Dr. Ibrahima SYLLA, cette intelligence artificielle (IA) « tient compte des réalités locales, des défis spécifiques et des potentialités inexplorées de nos territoires », dit-il. Avant d’ajouter : « Notre mission est de concevoir des solutions d'intelligence artificielle générative adaptées aux besoins des secteurs stratégiques tels que l’éducation, l’agriculture, la santé, et la gouvernance territoriale. Nous croyons en une IA éthique, inclusive et accessible, qui répond directement aux attentes des utilisateurs locaux…. Nous ouvrons un nouveau chapitre dans l'histoire de l'innovation technologique au Sénégal », informe l’enseignant-chercheur UCAD.
Prenant la parole, Diamé Signaté, Directeur général de l'agence de Développement Social (ADS) soutient que : « Entre le docteur Sylla et l'ADL, c'est quand même une amitié vieille de 14 ans qui vient d'être, comme vous l'avez dit, sanctionnée par une signataire de convention. Nous fondons beaucoup d'espoir sur cette convention-là. C'est pour, en quelque sorte, confiner vraiment une de nos missions fondamentales qui est l'information territoriale, mais surtout aussi, il y a le territoire sur le volet numérique. Donc, nous avons espéré qu'avec sa collaboration, ce sont des outils qui sont davantage confinés... Maintenant, je lui ai dit que nous irons vers e-communautaire, e-participation, etc. Donc, voilà de façon concise les attentes que nous avons. Maintenant, c'est pour vous dire aujourd'hui que l'ADL est là. Nous sommes dans l'administration. Nous sommes positionnés derrière le ministre pour quand même essayer de prendre en compte toutes les politiques locales qui vont désormais se traduire au niveau de nos collectivités locales ».