Le Danemark a annoncé, mercredi, être prêt à payer pour acquérir une partie des Panama papers, afin de traquer de potentiels contribuables fraudeurs. La publication de ces documents avait permis de révéler l’ampleur de l’évasion fiscale mondiale.
Le Danemark a dit oui. Le ministre danois des Finances, Karsten Lauritzen, a annoncé, mercredi 7 septembre, qu’il avait accepté de payer pour obtenir une partie des Panama papers afin d’enquêter sur les cas potentiels de fraudes fiscales.
Ces documents – issus du fichier des clients du cabinet d’avocats panaméens Mossack Fonseca – contiennent des informations sur des comptes dans des paradis fiscaux de plus de 500 contribuables danois, selon les médias locaux.
L’administration fiscale a reçu une offre anonyme, cet été, pour acquérir 200 000 des 11,5 millions de fichiers des Panama papers. Le gouvernement va payer pour ces précieux documents une somme comprise entre un million et 9 millions de couronnes (entre 134 000 et 1,2 million d’euros), selon le quotidien britannique The Guardian. Le Trésor danois a pu, avant de se décider, avoir accès à un échantillon gratuit de cette base de données, précise le magazine d’Afrique du Sud Times.
Le Danemark a dit oui. Le ministre danois des Finances, Karsten Lauritzen, a annoncé, mercredi 7 septembre, qu’il avait accepté de payer pour obtenir une partie des Panama papers afin d’enquêter sur les cas potentiels de fraudes fiscales.
Ces documents – issus du fichier des clients du cabinet d’avocats panaméens Mossack Fonseca – contiennent des informations sur des comptes dans des paradis fiscaux de plus de 500 contribuables danois, selon les médias locaux.
L’administration fiscale a reçu une offre anonyme, cet été, pour acquérir 200 000 des 11,5 millions de fichiers des Panama papers. Le gouvernement va payer pour ces précieux documents une somme comprise entre un million et 9 millions de couronnes (entre 134 000 et 1,2 million d’euros), selon le quotidien britannique The Guardian. Le Trésor danois a pu, avant de se décider, avoir accès à un échantillon gratuit de cette base de données, précise le magazine d’Afrique du Sud Times.