Les étudiants de l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis exigent la reprise des cours, dans les plus brefs délais. Ils prennent ainsi le contre-pied des autorités académiques qui ont retenu le mois de septembre pour l'ouverture des amphithéâtres.
« Ce que vous devez retenir aujourd’hui dans ce point de presse, est que la Coordination des étudiants de Saint-Louis au regard du manque de respect notoire que l’autorité montre à l’égard des étudiants, et à la communauté universitaire campe sur sa position de dire qu’il est immédiatement exigé et dans l’immédiateté, que les universités du Sénégal s’ouvrent en général. Et celle de UGB en particulier, doit ouvrir ces portes dans les plus bref délais. Rien n’explique la fermeture des universités », a déclaré Mohamadou Kabir Baldé, le porte-parole de la coordination des étudiants.
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La Coordination des étudiants de l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis qui réclame la reprise progressive des cours et la réouverture du campus universitaire à la suite de la levée de certaines mesures restrictives dans le cadre de la lutte contre la pandémie du coronavirus, suppose qu’aujourd’hui, « rien ne s’oppose à la reprise progressive des cours ».
« Ce que vous devez retenir aujourd’hui dans ce point de presse, est que la Coordination des étudiants de Saint-Louis au regard du manque de respect notoire que l’autorité montre à l’égard des étudiants, et à la communauté universitaire campe sur sa position de dire qu’il est immédiatement exigé et dans l’immédiateté, que les universités du Sénégal s’ouvrent en général. Et celle de UGB en particulier, doit ouvrir ces portes dans les plus bref délais. Rien n’explique la fermeture des universités », a déclaré Mohamadou Kabir Baldé, le porte-parole de la coordination des étudiants.
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La Coordination des étudiants de l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis qui réclame la reprise progressive des cours et la réouverture du campus universitaire à la suite de la levée de certaines mesures restrictives dans le cadre de la lutte contre la pandémie du coronavirus, suppose qu’aujourd’hui, « rien ne s’oppose à la reprise progressive des cours ».