Le préfet, Amadou Bamba Koné a présidé à la salle de conférence de la préfecture de Linguère un forum de partage d’accélération de la scolarisation et du maintien des enfants à l’école dans la région de Louga 2017-2020.
Le contexte, c’est que parmi les 14 académies du pays, les régions de Diourbel, Kaffrine, Matam, Tambacounda et Louga ont accusé un retard dans l’inscription et le maintien des enfants à l’école.
« La tutelle nous a instruits de combler le gap en élaborant un plan d’action en vue de sa résorption », explique Koné. Le planificateur de l’IA lui emboîte le pas en commentant le plan d’action ainsi validé par la tutelle à l’issue du séminaire des 7,8,9 et septembre 2017 derniers. Ainsi, il a souligné des faiblesses qui affectent les performances de la région.
Celles-ci ont pour noms la sous-scolarisation dans certaines zones, l’inexistence et/ou l’inadaptation des infrastructures (pour enfants handicapés moteurs), la faiblesse persistante du Taux Brut de Scolarisation (TBS), l’absentéisme des enseignants, etc.
A cela, s’y ajoute le phénomène de la transhumance pastorale surtout dans le département de Linguère, les mariages et grossesses précoces, la pauvreté des ménages ayant pour corollaire le travail des enfants, entre autres.
Le Préfet à laissé au secrétaire général de l’IA le soin de répondre aux diverses préoccupations émises à la suite des différentes interventions avant de clôturer la séance.
Le contexte, c’est que parmi les 14 académies du pays, les régions de Diourbel, Kaffrine, Matam, Tambacounda et Louga ont accusé un retard dans l’inscription et le maintien des enfants à l’école.
« La tutelle nous a instruits de combler le gap en élaborant un plan d’action en vue de sa résorption », explique Koné. Le planificateur de l’IA lui emboîte le pas en commentant le plan d’action ainsi validé par la tutelle à l’issue du séminaire des 7,8,9 et septembre 2017 derniers. Ainsi, il a souligné des faiblesses qui affectent les performances de la région.
Celles-ci ont pour noms la sous-scolarisation dans certaines zones, l’inexistence et/ou l’inadaptation des infrastructures (pour enfants handicapés moteurs), la faiblesse persistante du Taux Brut de Scolarisation (TBS), l’absentéisme des enseignants, etc.
A cela, s’y ajoute le phénomène de la transhumance pastorale surtout dans le département de Linguère, les mariages et grossesses précoces, la pauvreté des ménages ayant pour corollaire le travail des enfants, entre autres.
Le Préfet à laissé au secrétaire général de l’IA le soin de répondre aux diverses préoccupations émises à la suite des différentes interventions avant de clôturer la séance.
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