Le mouvement Aar sunu momel (Asm) accuse un riche promoteur de vouloir s’accaparer des champs des populations. L’organisation crie au scandale et interpelle les autorités sénégalaises.
Revenu de voyage de quelques années en Gambie, El Hadji Mor Cissé n’a plus le droit d’accéder à ces champs qui sont entre les mains d’un homme nanti de leur village Dagabala dans le département de Birkilane. Le sieur Cissé refuse de céder et averti.
« C’est t’absurde ce qu’il veut me faire subir. C’est pour cela que je suis même allé le trouver sur l’arbre à palabres pour lui faire savoir que sa forfaiture ne passera point, quitte à ce que je perde la vie ou d’aller en prison. On est prêt comme l’a dit mon père. On ne cédera jamais et nous sommes prêtes à y laisser nos vies », martèle El Hadji Mor Cissé.
Le mouvement Asm qui s’est saisi du dossier déplore ce cas qui dit-il n’est qu’un exemple parmi des milliers de litiges foncier. « Il a affaire à un milliardaire qui n’a rien à faire avec ces terres et prive des pauvres d’avoir de quoi à vivre enfermant tous les issus possibles. Nous avons décidé d’appeler l’opposition, la société civile, et même les activistes de nous rejoindre dans le combat pour que justice soit faite dans ces cas possibles ».
Revenu de voyage de quelques années en Gambie, El Hadji Mor Cissé n’a plus le droit d’accéder à ces champs qui sont entre les mains d’un homme nanti de leur village Dagabala dans le département de Birkilane. Le sieur Cissé refuse de céder et averti.
« C’est t’absurde ce qu’il veut me faire subir. C’est pour cela que je suis même allé le trouver sur l’arbre à palabres pour lui faire savoir que sa forfaiture ne passera point, quitte à ce que je perde la vie ou d’aller en prison. On est prêt comme l’a dit mon père. On ne cédera jamais et nous sommes prêtes à y laisser nos vies », martèle El Hadji Mor Cissé.
Le mouvement Asm qui s’est saisi du dossier déplore ce cas qui dit-il n’est qu’un exemple parmi des milliers de litiges foncier. « Il a affaire à un milliardaire qui n’a rien à faire avec ces terres et prive des pauvres d’avoir de quoi à vivre enfermant tous les issus possibles. Nous avons décidé d’appeler l’opposition, la société civile, et même les activistes de nous rejoindre dans le combat pour que justice soit faite dans ces cas possibles ».