Le tribunal de Louga a tranché l’affaire sur le meurtre de Samba Kâ, tué par son ami à coups de coupe-coupe. Il a condamné l’accusé Fary Kâ, âgé de 22 ans, reconnu coupable des faits qui lui sont reprochés, à deux (2) de travaux forcés.
L’affaire remonte au 25 septembre 2016 à la lisière du village de Niappa Bâ, situé dans la région de Louga. Le jour du drame, Fary Kâ et son frère se sont rendus en brousse pour ramasser des herbes mortes. Ils ont été rejoints par leur ami, Samba Kâ. Sous les effets de l’alcool, ce dernier s’est attaqué à Fary avant de lui asséner des coups de coupe-coupe qu’il tenait par devers lui.
Sérieusement atteint, Fary Kâ, pour se défendre, a décidé de brandir un coupe-coupe avec lequel, il a donné un coup fatal à son ami qui s’est retrouvé avec la gorge tranchée à moitié. Samba décédera au cours de son évacuation au poste de santé de Touba Boustane.
Devant la barre de la Chambre criminelle de Louga, l’accusé a reconnu avoir porté le coup mortel, sans intention de donner la mort. «J’ai donné des coups à l’aveuglette pour sauver ma vie», s’est-t-il défendu.
Des propos qui n’ont pas convaincu le Parquet qui a requis 10 ans de travaux forcés contre lui. Fary Kâ a finalement, écopé deux (2) ans de travaux forcés.
L’affaire remonte au 25 septembre 2016 à la lisière du village de Niappa Bâ, situé dans la région de Louga. Le jour du drame, Fary Kâ et son frère se sont rendus en brousse pour ramasser des herbes mortes. Ils ont été rejoints par leur ami, Samba Kâ. Sous les effets de l’alcool, ce dernier s’est attaqué à Fary avant de lui asséner des coups de coupe-coupe qu’il tenait par devers lui.
Sérieusement atteint, Fary Kâ, pour se défendre, a décidé de brandir un coupe-coupe avec lequel, il a donné un coup fatal à son ami qui s’est retrouvé avec la gorge tranchée à moitié. Samba décédera au cours de son évacuation au poste de santé de Touba Boustane.
Devant la barre de la Chambre criminelle de Louga, l’accusé a reconnu avoir porté le coup mortel, sans intention de donner la mort. «J’ai donné des coups à l’aveuglette pour sauver ma vie», s’est-t-il défendu.
Des propos qui n’ont pas convaincu le Parquet qui a requis 10 ans de travaux forcés contre lui. Fary Kâ a finalement, écopé deux (2) ans de travaux forcés.
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