Lucienne Ndione, juriste de formation, et membre des réformateurs, explique leur démarche par un manque de démocratie au sein du Pds. « Quand on n’est pas d’accord, on a le droit d’exprimer ses divergences. L’absence de la démocratie entraîne la patrimonialisation du parti, au point de penser que le parti doit revenir à sa famille », déclare-t-elle.
Discutant sur le thème : «Problématique de la démocratie interne dans les partis politiques », la juriste a contesté le choix qui a été porté sur Oumar Sarr et Karim Wade comme respectivement, le secrétaire général adjoint national du Pds et candidat dudit Parti. « Ce qui nous frustre, nous, les réformateurs, c’est le fait qu’on veuille imposer des leaders, dont le choix ne répond à aucune logique ; ou bien de nous imposer un candidat à la prochaine élection présidentielle, sans veto », peste-t-elle. Avant de réaffirmer la volonté de ses camarades réformateurs de poursuivre le combat. «Nous tenons le bout, et nous allons poursuivre le combat jusqu’au bout, à nos risques et périls ».
Discutant sur le thème : «Problématique de la démocratie interne dans les partis politiques », la juriste a contesté le choix qui a été porté sur Oumar Sarr et Karim Wade comme respectivement, le secrétaire général adjoint national du Pds et candidat dudit Parti. « Ce qui nous frustre, nous, les réformateurs, c’est le fait qu’on veuille imposer des leaders, dont le choix ne répond à aucune logique ; ou bien de nous imposer un candidat à la prochaine élection présidentielle, sans veto », peste-t-elle. Avant de réaffirmer la volonté de ses camarades réformateurs de poursuivre le combat. «Nous tenons le bout, et nous allons poursuivre le combat jusqu’au bout, à nos risques et périls ».