Plus de 100 participants originaires de divers pays d’Afrique et d’autres continents se sont réunis, ce mercredi à Dakar pour échanger sur les questions de la fiscalité avec comme thème : « Numérisation : Défis et opportunités – Discussion sur le paysage Fiscal Africaine ».
Accueilli par la Direction Générale des Impôts et Domaines (DGID) du Sénégal, ce 5e Congrès annuel de la Direction général des Réseau Africain de Recherches en Fiscalité (ATRN), se tient les 27 et 28 novembre 2019 à Dakar.
Selon Abdoulaye Aziz Gueye, coordinateur de la Direction général de la DGID, cette rencontre permettra de faire l’économie des défis engendrés par la numérisation de l’économie. Toutefois, il précise que la fiscalité au Sénégal se porte très bien.
« L’Objectif de cette rencontre est de faire l’économie des défis engendrés par la numérisation de l’économie. Nos appréciations fiscales sont interpellées dans le cas de la lutte contre l’évasion fiscale et les transferts de bénéfices indirects. C’est dans ce cadre que le Réseau africain pour la recherche en fiscalité a organisé son 5e congrès ici au Sénégal pour discuter sur la stratégie à mettre en place. Ce, pour avoir une vision africaine qui tienne compte de nos réalités spécifiques, et faire face aux défis de la numérisation de économique », a déclaré M. Gueye.
Il ajoute : « La fiscalité au Sénégal se porte très bien. Nous avons une administration fiscale moderne. C’est une administration fiscale dans le contexte des pays sous-développés. Le thème retenu pour ce présent congrès est d’actualité et d’un intérêt hautement stratégique ».
Interpellé sur la stratégie à mettre en place pour capter, intercepter la manne financière qui échappe aux administrations fiscales, Dr Nana Mankam, Directrice de la Recherche à l’ATAF (African Tax administration Forum), précise que l’ATAF et les administrations fiscales africaines essaient d’affronter ce problème du côté de la technologie, mais aussi du coté de la législation.
« Actuellement, les décisions sont en train de se prendre à l’échelle internationale pour être sûr qu’on apporte la perspective africaine, que nous sommes protégés de manière égale par rapport aux entreprises multinationales qui sont dans nos pays. C’est pour ça que nous sommes là, pour être sûr que toutes nos inquiétudes, nos préoccupations sont effectivement dans les décisions qui seront prises pour que l’Afrique ne continue pas à faire le rattrapage », a indiqué Dr Nana Mankam.
Accueilli par la Direction Générale des Impôts et Domaines (DGID) du Sénégal, ce 5e Congrès annuel de la Direction général des Réseau Africain de Recherches en Fiscalité (ATRN), se tient les 27 et 28 novembre 2019 à Dakar.
Selon Abdoulaye Aziz Gueye, coordinateur de la Direction général de la DGID, cette rencontre permettra de faire l’économie des défis engendrés par la numérisation de l’économie. Toutefois, il précise que la fiscalité au Sénégal se porte très bien.
« L’Objectif de cette rencontre est de faire l’économie des défis engendrés par la numérisation de l’économie. Nos appréciations fiscales sont interpellées dans le cas de la lutte contre l’évasion fiscale et les transferts de bénéfices indirects. C’est dans ce cadre que le Réseau africain pour la recherche en fiscalité a organisé son 5e congrès ici au Sénégal pour discuter sur la stratégie à mettre en place. Ce, pour avoir une vision africaine qui tienne compte de nos réalités spécifiques, et faire face aux défis de la numérisation de économique », a déclaré M. Gueye.
Il ajoute : « La fiscalité au Sénégal se porte très bien. Nous avons une administration fiscale moderne. C’est une administration fiscale dans le contexte des pays sous-développés. Le thème retenu pour ce présent congrès est d’actualité et d’un intérêt hautement stratégique ».
Interpellé sur la stratégie à mettre en place pour capter, intercepter la manne financière qui échappe aux administrations fiscales, Dr Nana Mankam, Directrice de la Recherche à l’ATAF (African Tax administration Forum), précise que l’ATAF et les administrations fiscales africaines essaient d’affronter ce problème du côté de la technologie, mais aussi du coté de la législation.
« Actuellement, les décisions sont en train de se prendre à l’échelle internationale pour être sûr qu’on apporte la perspective africaine, que nous sommes protégés de manière égale par rapport aux entreprises multinationales qui sont dans nos pays. C’est pour ça que nous sommes là, pour être sûr que toutes nos inquiétudes, nos préoccupations sont effectivement dans les décisions qui seront prises pour que l’Afrique ne continue pas à faire le rattrapage », a indiqué Dr Nana Mankam.