Les autorités médicales dans la région de Saint-Louis s’engagent dans la lutte contre le cancer du col de l’utérus qui fait des ravages chez les femmes. Elles vont lancer la campagne de vaccination qui va démarrer à partir du 1er novembre et aura pour cible les jeunes filles âgées de 9 ans.
Selon Abdrahmane Traoré, responsable du volet éducation information à la région médicale de Saint-Louis, cette campagne de prévention vient rétablir une injustice sociale. Car dit-il, elle va améliorer considérablement l’accessibilité du vaccin aux couches les plus défavorisées.
« La vaccination contre le cancer de col de l’utérus, je voudrais rappeler qu'elle rentre dans le cadre du programme de vaccination à partir du 1er novembre. Et cette vaccination-là, à mon avis, vient rétablir une injustice sociale en améliorant considérablement l’accessibilité de ce vaccin aux couches les plus défavorisées. En ce qui concerne cette vaccination-là, pour l’instant, nous allons nous limiter aux filles âgées de 9 ans », dit-il.
Toutefois, il tient à préciser que ce n’est pas une campagne de vaccination, mais c’est une vaccination de routine. « Et nous voudrions que les parents, les enseignants, soient sensibilisés. Que cette vaccination rentre dans le programme élargie de vaccination», lance M. Traoré au micro de Zik fm.
Selon Abdrahmane Traoré, responsable du volet éducation information à la région médicale de Saint-Louis, cette campagne de prévention vient rétablir une injustice sociale. Car dit-il, elle va améliorer considérablement l’accessibilité du vaccin aux couches les plus défavorisées.
« La vaccination contre le cancer de col de l’utérus, je voudrais rappeler qu'elle rentre dans le cadre du programme de vaccination à partir du 1er novembre. Et cette vaccination-là, à mon avis, vient rétablir une injustice sociale en améliorant considérablement l’accessibilité de ce vaccin aux couches les plus défavorisées. En ce qui concerne cette vaccination-là, pour l’instant, nous allons nous limiter aux filles âgées de 9 ans », dit-il.
Toutefois, il tient à préciser que ce n’est pas une campagne de vaccination, mais c’est une vaccination de routine. « Et nous voudrions que les parents, les enseignants, soient sensibilisés. Que cette vaccination rentre dans le programme élargie de vaccination», lance M. Traoré au micro de Zik fm.
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