Le collectif « Dialoba » dont les 3145 parcelles sont menacées de démolition interpelle le Président Macky Sall pour une solution à cette affaire. En effet, le regroupement des collectifs des propriétaires de champs et de terrains de la cité Chérif Abdoulaye Thiaw de Malika prolongement VDN3 et les collectifs concernés Dialoba , famille Maimouna Ba, cité Chérif Abdoulaye Thiaw réclament ce qui leur revient de droit.
Selon le collectif, « c’est en janvier 2019 que la DSCOS leur a notifié d’un arrêt de construction pour motif de non-conformité du lotissement du site de Dialoba aux normes de l’urbanisme. Ainsi par correspondances administratives, la mairie de Malika a réitéré aux autorités sous préfectorales sa ferme volonté de répondre à leurs exigences ».
Toujours, nous indique le communiqué parvenu à PressAfrik, « la DSCOS revient encore tel un poignard en plein cœur avec des bulldozers, avec une cargaison d’une centaine de gendarmes armés jusqu’aux dents et a commencé à raser des bâtiments en finition depuis le rond-point de Tivaouane peulh jusqu'à Malika en passant par Diallopdigue. Plus de cent quarante bâtiments ont été démolis. La majorité des impactés a contracté des prêts bancaires pour honorer l’obligation de loger leurs familles ».
Le Collectif totalise 2000 parcelles appartenant à 24 familles, 522 propriétaires identifiés, dont plus de 80 émigrés, 98 bâtiments, 7 démolis par DSCOS. Les autres collectifs sont propriétaires de 1145 parcelles appartenant à 63 familles, 205 propriétaires identifiés 140 bâtiments démolis par la DSCOS.
Situé entre Tivaouane Peul et Keur Massar, Diallopdigue communément appelé « Dialoba » est un site de la commune de Malika occupé par des cultivateurs depuis la création du village en 1914. C’est une zone très convoitée par de gros bonnets : promoteurs immobiliers et hommes d’affaires fonciers. Cette zone a été virtuellement morcelée et attribuée à des tiers spéculateurs et manipulateurs profitant de la faiblesse d’esprit de certains agents de l’administration pour exproprier et mettre à nu les authentiques héritiers de cette terre, un site coutumier et religieux qu’est celui de Mame Limamoulaye AL Mahdi.
Selon le collectif, « c’est en janvier 2019 que la DSCOS leur a notifié d’un arrêt de construction pour motif de non-conformité du lotissement du site de Dialoba aux normes de l’urbanisme. Ainsi par correspondances administratives, la mairie de Malika a réitéré aux autorités sous préfectorales sa ferme volonté de répondre à leurs exigences ».
Toujours, nous indique le communiqué parvenu à PressAfrik, « la DSCOS revient encore tel un poignard en plein cœur avec des bulldozers, avec une cargaison d’une centaine de gendarmes armés jusqu’aux dents et a commencé à raser des bâtiments en finition depuis le rond-point de Tivaouane peulh jusqu'à Malika en passant par Diallopdigue. Plus de cent quarante bâtiments ont été démolis. La majorité des impactés a contracté des prêts bancaires pour honorer l’obligation de loger leurs familles ».
Le Collectif totalise 2000 parcelles appartenant à 24 familles, 522 propriétaires identifiés, dont plus de 80 émigrés, 98 bâtiments, 7 démolis par DSCOS. Les autres collectifs sont propriétaires de 1145 parcelles appartenant à 63 familles, 205 propriétaires identifiés 140 bâtiments démolis par la DSCOS.
Situé entre Tivaouane Peul et Keur Massar, Diallopdigue communément appelé « Dialoba » est un site de la commune de Malika occupé par des cultivateurs depuis la création du village en 1914. C’est une zone très convoitée par de gros bonnets : promoteurs immobiliers et hommes d’affaires fonciers. Cette zone a été virtuellement morcelée et attribuée à des tiers spéculateurs et manipulateurs profitant de la faiblesse d’esprit de certains agents de l’administration pour exproprier et mettre à nu les authentiques héritiers de cette terre, un site coutumier et religieux qu’est celui de Mame Limamoulaye AL Mahdi.