L'ancien ministre sous Wade, Mamadou Makalou invite les Sénégalais à faire le bon choix en 2019. Selon lui, il n'est plus question de faire confiance à des dirigeants qui confient toute notre économie à des étrangers. Car avec ce système, «jamais les Sénégalais ne bénéficieront de cette croissance», dit-il.
A en croire le secrétaire général de l’Union Sénégalaise pour la démocratie, «dès lors que l’arbitre choisit son camp, il ne peut plus diriger le match. Ali Ngouye Ndiaye a choisi son camp. On sait qu’il est de l’APR, on sait que c’est un citoyen Sénégalais. D’accord, il a le droit d’avoir un camp politique. Mais il a une double casquette. Et c’est difficile pour faire la jonction entre ces deux casquettes, de ministre de l’intérieure à l’autorité neutre et militant responsable d’un parti politique ».
Poursuivant ses propos, il ajoute : « Des lors qu’il est choisi pour diriger les élections, sa position n’est pas partisane. Il doit être uniquement une position de neutralité qui lui permettra de faire les élections apaisées à partir de la confiance qui suscitera cette position de neutralité. Quant-il n’y a pas de confiance, il ne peut pas y avoir d’élection apaisée. Et s’il n’y a pas d’élection apaisée c’est l’instabilité qui suit, que Dieu nous en garde».
Pour l’ex-ministre, « les Sénégalais ont l’occasion une fois ou jamais de faire un choix lors des élections présidentielle de 2019. C’est le moment de choisir quelqu’un qui ne mènera toute l’économie du pays qu'entre les mains des puissances étrangères. Il y a donc lieu de réfléchir. Non pas en fonction des sommes d’argent données, qui sont puisées des fonds publics ou fonds politiques. De toutes façons ceux qui donnent cet argent, ce n’est pas leur argent qu’ils donnent ».
M. Makalou au micro de Sud Fm se voulant plus claire précise : «Je ne suis pas contre l’ouverture économique, ni contre l’investissement privé étranger, non, mais on ne peut pas mettre toute l’économie entre les mains des seuls étrangers. Si on met tout entre les mains des puissances étrangères, il va y avoir une croissance, mais la croissance ne profitera pas du tout à la ménagère ».
A en croire le secrétaire général de l’Union Sénégalaise pour la démocratie, «dès lors que l’arbitre choisit son camp, il ne peut plus diriger le match. Ali Ngouye Ndiaye a choisi son camp. On sait qu’il est de l’APR, on sait que c’est un citoyen Sénégalais. D’accord, il a le droit d’avoir un camp politique. Mais il a une double casquette. Et c’est difficile pour faire la jonction entre ces deux casquettes, de ministre de l’intérieure à l’autorité neutre et militant responsable d’un parti politique ».
Poursuivant ses propos, il ajoute : « Des lors qu’il est choisi pour diriger les élections, sa position n’est pas partisane. Il doit être uniquement une position de neutralité qui lui permettra de faire les élections apaisées à partir de la confiance qui suscitera cette position de neutralité. Quant-il n’y a pas de confiance, il ne peut pas y avoir d’élection apaisée. Et s’il n’y a pas d’élection apaisée c’est l’instabilité qui suit, que Dieu nous en garde».
Pour l’ex-ministre, « les Sénégalais ont l’occasion une fois ou jamais de faire un choix lors des élections présidentielle de 2019. C’est le moment de choisir quelqu’un qui ne mènera toute l’économie du pays qu'entre les mains des puissances étrangères. Il y a donc lieu de réfléchir. Non pas en fonction des sommes d’argent données, qui sont puisées des fonds publics ou fonds politiques. De toutes façons ceux qui donnent cet argent, ce n’est pas leur argent qu’ils donnent ».
M. Makalou au micro de Sud Fm se voulant plus claire précise : «Je ne suis pas contre l’ouverture économique, ni contre l’investissement privé étranger, non, mais on ne peut pas mettre toute l’économie entre les mains des seuls étrangers. Si on met tout entre les mains des puissances étrangères, il va y avoir une croissance, mais la croissance ne profitera pas du tout à la ménagère ».