Les mariages précoces ont atteint un seuil inquiétant. Les statistiques parlent d’elles-mêmes. En Afrique de l’Ouest et du Centre, c’est huit (8) millions de femmes qui ont déclaré avoir été mariées avant l’âge de 18 ans. Pis, c’est environ 16 millions de filles âgées de 15 à 19 ans qui donnent naissance chaque année, selon le Fonds des Nations Unies pour la Population (Unfpa).
Au Sénégal, c’est près d’une fille sur trois qui est mariée avant l’âge de 18 ans. Ce qui fait des adolescentes une des cibles parmi les couches les plus vulnérables dont la santé a souvent été compromise par des comportements à risque. Entres autres, 19% des adolescentes de 15 à 19 ans ont déjà commencé leur vie féconde. 16% sont dans les liens du mariage. Ces données posent, avec acuité, la question des mariages précoces.
Pour le ministère chargé du Budget, les adolescentes portent en elles-mêmes les germes du futur et les potentialités pour le développement du Sénégal. C’est pourquoi, l’Etat a adopté le programme conjoint pour l’éradication des violences basées sur le genre et la promotion des droits humains des femmes et des filles, la stratégie nationale de la santé de la reproduction des adolescentes ou jeunes et la Loi d’orientation 2004 prônant l’obligation scolaire jusqu'à dix ans et mettant l’accent sur la formation qualifiante, etc.
Au Sénégal, c’est près d’une fille sur trois qui est mariée avant l’âge de 18 ans. Ce qui fait des adolescentes une des cibles parmi les couches les plus vulnérables dont la santé a souvent été compromise par des comportements à risque. Entres autres, 19% des adolescentes de 15 à 19 ans ont déjà commencé leur vie féconde. 16% sont dans les liens du mariage. Ces données posent, avec acuité, la question des mariages précoces.
Pour le ministère chargé du Budget, les adolescentes portent en elles-mêmes les germes du futur et les potentialités pour le développement du Sénégal. C’est pourquoi, l’Etat a adopté le programme conjoint pour l’éradication des violences basées sur le genre et la promotion des droits humains des femmes et des filles, la stratégie nationale de la santé de la reproduction des adolescentes ou jeunes et la Loi d’orientation 2004 prônant l’obligation scolaire jusqu'à dix ans et mettant l’accent sur la formation qualifiante, etc.