« L’agroécologie peut nourrir plus de 7 milliards de personnes en Afrique ». C’est du moins l’avis de Mariama Sonko la présidente du mouvement, « Nous sommes la solution ». Elle se prononçait à l’occasion de la deuxième conférence continentale sur les systèmes alimentaires africains tenue, ce samedi à Mbour.
Selon Mariama Soncko, cette agriculture que nous prônons qui est l’agroécologie prend en compte, le respect de toute vie. « Ce que Dieu nous a donné, nous devons le respecter pour pouvoir vivre en harmonie avec tout ceux qui nous entour. Et c’est à partir de là, que nous allons tout voir, développer nos stratégies, nos idées, nos innovations »,.
Pour la présidente du mouvement, « Nous sommes la solution », « si on ne prend pas compte de tout ce qui nous entour, et que nous prenons en compte le profit et non la santé, donc il y a problème. Aujourd’hui, nous vivons les problèmes de cette pratique conventionnelle ou industrielle que nous prenons au niveau de nos pays africains ».
Aux yeux de Mariama Soncko, « aujourd’hui les gens sont en train de voir comment massifier les intrants organiques. C’est là que nous devons travailler et non sur ce qui doit nuire notre écosystème. On doit utiliser notre cerveau pour aller de l’avant. Le message que je voudrais donner, c’est qu’on s’approprie de nos valeurs africaines. Il faudrait qu’on s’enracine dans nos valeurs pour pouvoir s’ouvrir à d’autres ».
La conférence a réuni des réseaux de recherche et de développement, des agriculteurs, des pêcheurs, des pasteurs, des chasseurs/cueilleurs, des peuples autochtones, des institutions confessionnelles, des groupes de femmes et de jeunes, des associations de consommateurs, etc.
Selon Mariama Soncko, cette agriculture que nous prônons qui est l’agroécologie prend en compte, le respect de toute vie. « Ce que Dieu nous a donné, nous devons le respecter pour pouvoir vivre en harmonie avec tout ceux qui nous entour. Et c’est à partir de là, que nous allons tout voir, développer nos stratégies, nos idées, nos innovations »,.
Pour la présidente du mouvement, « Nous sommes la solution », « si on ne prend pas compte de tout ce qui nous entour, et que nous prenons en compte le profit et non la santé, donc il y a problème. Aujourd’hui, nous vivons les problèmes de cette pratique conventionnelle ou industrielle que nous prenons au niveau de nos pays africains ».
Aux yeux de Mariama Soncko, « aujourd’hui les gens sont en train de voir comment massifier les intrants organiques. C’est là que nous devons travailler et non sur ce qui doit nuire notre écosystème. On doit utiliser notre cerveau pour aller de l’avant. Le message que je voudrais donner, c’est qu’on s’approprie de nos valeurs africaines. Il faudrait qu’on s’enracine dans nos valeurs pour pouvoir s’ouvrir à d’autres ».
La conférence a réuni des réseaux de recherche et de développement, des agriculteurs, des pêcheurs, des pasteurs, des chasseurs/cueilleurs, des peuples autochtones, des institutions confessionnelles, des groupes de femmes et de jeunes, des associations de consommateurs, etc.