Les membres du Comité Exécutif de l’Amicale des Travailleurs de l’Électricité (ATE) ont organisé un point de presse ce mardi dans les locaux de Y’EN A MARRE pour dénoncer leur situation de prestataires et les lenteurs administratives suite à leur autorisation de marche de ce mercredi 28 avril 2021 à Dakar. Ces 499 prestataires qui exigent leur embauche dans la fonction publique décident de marcher avec ou sans autorisation de la place de l’Obélisque au rond-point de la Radio Télévision Sénégalaise (RTS). Après cette marche, ces prestataires ont prévu d'organiser un sit-in dans les locaux de la direction générale de la Senelec. Toutefois, ils menacent, s'il n'y pas effet, de partir vers une grève de la faim.
« En 2020, nous avons rencontré Pape Mademba Biteye, Directeur général de la Senelec qui nous avait fait des promesses d'embauche. Et c'est le 29 décembre qu'il m’a appelé pour me dire qu'il peut prendre que trois (3) personnes sur 499 prestataires. Alors que le Conseil d'administration en 2020 lui avait autorisé d'embaucher 210 éléments », a indiqué Thomaté Coly, Coordinateur national de l'Amicale des travailleurs de l'électricité.
Selon M. Coly, le Dg de la Senelec fait un recrutement clientéliste. « Les prestataires font le plus gros du travail, mais ils peuvent rester 4 à 5 mois, voire 1 an sans être payés. Au niveau de Kaolack, les gens sont restés 7 mois sans être payés. Il y a des gens qui ont eu des accidents de travail que la Senelec n'a pas pris en charge », dit-il.
Mieux, ajoute Thomaté Coly, « Nous exigeons l’embauche de tous les 499 prestataires. Nous donnons rendez vous à tous les prestataires au niveau national de rallier sur Dakar à la Place de l'Obélisque pour terminer la marche au rond-point de la RTS. Après cette marche, nous avons prévu d'organiser un sit-in dans les locaux de la Direction Général de la Senelec. Et s'il n'y pas effet, nous allons partir vers une grève de la faim. La marche n'est pas encore autorisée. Le préfet traine toujours. Mais s'il le veut ou pas, nous allons marcher pacifiquement ».
Le Coordinateur national de l'Amicale invite le président de la République en personne. « Nous continuons le combat jusqu'à ce que le Président de la République nous donne en personne, lui-même, nos matricules. Puisqu'il a eu à le faire dans le gouvernement de Wade quand il était ministre de l'Energie. Il avait embauché beaucoup de gens qui sont devenus aujourd'hui des cadres. C'est cette même action que nous attendons de lui. Et nous somme près à passer à la vitesse supérieure », interpelle Thomaté Coly.
« En 2020, nous avons rencontré Pape Mademba Biteye, Directeur général de la Senelec qui nous avait fait des promesses d'embauche. Et c'est le 29 décembre qu'il m’a appelé pour me dire qu'il peut prendre que trois (3) personnes sur 499 prestataires. Alors que le Conseil d'administration en 2020 lui avait autorisé d'embaucher 210 éléments », a indiqué Thomaté Coly, Coordinateur national de l'Amicale des travailleurs de l'électricité.
Selon M. Coly, le Dg de la Senelec fait un recrutement clientéliste. « Les prestataires font le plus gros du travail, mais ils peuvent rester 4 à 5 mois, voire 1 an sans être payés. Au niveau de Kaolack, les gens sont restés 7 mois sans être payés. Il y a des gens qui ont eu des accidents de travail que la Senelec n'a pas pris en charge », dit-il.
Mieux, ajoute Thomaté Coly, « Nous exigeons l’embauche de tous les 499 prestataires. Nous donnons rendez vous à tous les prestataires au niveau national de rallier sur Dakar à la Place de l'Obélisque pour terminer la marche au rond-point de la RTS. Après cette marche, nous avons prévu d'organiser un sit-in dans les locaux de la Direction Général de la Senelec. Et s'il n'y pas effet, nous allons partir vers une grève de la faim. La marche n'est pas encore autorisée. Le préfet traine toujours. Mais s'il le veut ou pas, nous allons marcher pacifiquement ».
Le Coordinateur national de l'Amicale invite le président de la République en personne. « Nous continuons le combat jusqu'à ce que le Président de la République nous donne en personne, lui-même, nos matricules. Puisqu'il a eu à le faire dans le gouvernement de Wade quand il était ministre de l'Energie. Il avait embauché beaucoup de gens qui sont devenus aujourd'hui des cadres. C'est cette même action que nous attendons de lui. Et nous somme près à passer à la vitesse supérieure », interpelle Thomaté Coly.