Venu apporter son soutien au premier magistrat de la ville de Dakar, le président du groupe parlementaire «Liberté et Démocratie» Me Madické Niang a dénoncé les conditions dans lesquelles l’immunité de Khalifa Sall a été levée. Avant de souligner que cette décision va faire couler beaucoup d’encre à l’avenir.
« Je ne suis pas là en tant qu'avocat, parce que en tant que député, je ne peux pas me constituer sur une affaire qui concerne l’Etat du Sénégal. Je suis là en tant que président du groupe parlementaire libéral pour aussi apporter notre soutien à notre frère Khalifa Sall », a-t-il déclaré aux journalistes.
Poursuivant son argumentaire, Me Madické Niang a par ailleurs souligné qu’il ne cessera jamais de dénoncer les conditions dans lesquelles son immunité a été levée. Tout en espérant que le juge pourra reconnaitre cette erreur.
Le procès, indique-t-il est dans sa première phase qui est la partie des exceptions. D’abord la constitution de partie civile de la mairie de Dakar. "Au cours du procès beaucoup d’exceptions seront soulevées. Parce que les avocats pensent que le procès a été jalonné, d’irrégularités et de violations de la règle de droit. Et, à la fin des exceptions, il appartiendra au président de prendre l’une des positions possibles. La première va être de rendre une décision sur les exceptions en mettant un délibéré ou bien de joindre les exceptions au fond égalant un seul et même jugement", a-conclu Me Madické Niang.
« Je ne suis pas là en tant qu'avocat, parce que en tant que député, je ne peux pas me constituer sur une affaire qui concerne l’Etat du Sénégal. Je suis là en tant que président du groupe parlementaire libéral pour aussi apporter notre soutien à notre frère Khalifa Sall », a-t-il déclaré aux journalistes.
Poursuivant son argumentaire, Me Madické Niang a par ailleurs souligné qu’il ne cessera jamais de dénoncer les conditions dans lesquelles son immunité a été levée. Tout en espérant que le juge pourra reconnaitre cette erreur.
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Le procès, indique-t-il est dans sa première phase qui est la partie des exceptions. D’abord la constitution de partie civile de la mairie de Dakar. "Au cours du procès beaucoup d’exceptions seront soulevées. Parce que les avocats pensent que le procès a été jalonné, d’irrégularités et de violations de la règle de droit. Et, à la fin des exceptions, il appartiendra au président de prendre l’une des positions possibles. La première va être de rendre une décision sur les exceptions en mettant un délibéré ou bien de joindre les exceptions au fond égalant un seul et même jugement", a-conclu Me Madické Niang.