«Deux ans après l’institutionnalisation de la journée nationale du dialogue, l’impact dans la stabilité sociale de ce dialogue reste encore mitigée. Au-delà de la symbolique de la journée, le comportement de tous les jours, des différents acteurs en l’occurrence les actes posés par le chef de l’Etat comme l’opposition, ne militent pas en faveur d’un dialogue inclusif qui pourrait garantir une stabilité sociale». C’est du moins la conviction de Momar Diongue. Il réagissait, suite la volonté du chef de l’Etat a réitéré son attachement au principe de dialogue, de consultation et de concertation, dans un espace démocratique et apaisé.
Selon l'analyste politique, « le dialogue est une question de comportement permanant. Si vous vous souvenez même à l’époque, il y a beaucoup de segments de l’opposition, et même de la société civile qui avait tourné le dos à cet appel au dialogue de mai 2016. Ça venez tout juste après l’organisation du référendum. Alors que le président avait été invité autour des points de réforme qu’il voulait soumettre à référendum au Sénégalais. Qu’il ait une discussion au préalable. Mais il ne l’avait pas fait à l’époque ».
Poursuivant son analyse, il ajoute : « Après coup, qu’il a voulu convier les forces de l’opposition au dialogue. Raison pour laquelle beaucoup lui avaient tourné le dos. Donc c’est une affaire de comportement sincère de tous les jours. Mais quand c’est calculé, malheureusement ça ne peut pas avoir l’impacte sur le dialogue et la stabilité ».
Pour lui, le 28 mai 2016 était tout simplement une opération cosmétique qui était destiné à maquiller les pourparlers. « Le 28 mai était une date qui a été consacré pour le dialogue social. Mais il se trouve que ce 28 mai 2016 n’était pas en lui un dialogue sincère. C’était tout simplement une opération cosmétique qui été destiné à maquiller les pourparlers qui ont présidé par la suite, à la grâce présidentielle accordée à Karim Wade. La deuxième chose, ce que dans la foulée du référendum, il devait y avoir la mise en place du Haut conseil des collectivités territorial. Et pour le rendre encore plus digeste pour l’opinion, le président de la République avait convoqué ce dialogue au niveau du palais national », explique t-il.
Selon l'analyste politique, « le dialogue est une question de comportement permanant. Si vous vous souvenez même à l’époque, il y a beaucoup de segments de l’opposition, et même de la société civile qui avait tourné le dos à cet appel au dialogue de mai 2016. Ça venez tout juste après l’organisation du référendum. Alors que le président avait été invité autour des points de réforme qu’il voulait soumettre à référendum au Sénégalais. Qu’il ait une discussion au préalable. Mais il ne l’avait pas fait à l’époque ».
Poursuivant son analyse, il ajoute : « Après coup, qu’il a voulu convier les forces de l’opposition au dialogue. Raison pour laquelle beaucoup lui avaient tourné le dos. Donc c’est une affaire de comportement sincère de tous les jours. Mais quand c’est calculé, malheureusement ça ne peut pas avoir l’impacte sur le dialogue et la stabilité ».
Pour lui, le 28 mai 2016 était tout simplement une opération cosmétique qui était destiné à maquiller les pourparlers. « Le 28 mai était une date qui a été consacré pour le dialogue social. Mais il se trouve que ce 28 mai 2016 n’était pas en lui un dialogue sincère. C’était tout simplement une opération cosmétique qui été destiné à maquiller les pourparlers qui ont présidé par la suite, à la grâce présidentielle accordée à Karim Wade. La deuxième chose, ce que dans la foulée du référendum, il devait y avoir la mise en place du Haut conseil des collectivités territorial. Et pour le rendre encore plus digeste pour l’opinion, le président de la République avait convoqué ce dialogue au niveau du palais national », explique t-il.