Le Syndicat Autonome de l’Enseignement Supérieur (SAES) a déclaré avoir déposé un préavis de grève mardi. Selon son Secrétaire général, à l’expiration de ce préavis de grève, le SAES se réservera le droit de pouvoir mener les actions qu’il jugera nécessaire pour aller vers la satisfaction de ses revendications. Parlant d’une éventuelle synergie avec les autres syndicats du secteur de l’enseignement, Malick Fall note qu’ils ne sont pas partisans des ‘’alliances de contre nature’’. Pour lui, vouloir se mettre autour d’une table avec ces syndicats qui malheureusement les attaquent souvent à tort pour mutualiser leurs forces, c’est assez compliqué. Il avoue que pour le moment, ils comptent rester sur leur ligne directrice.
« Nous avons évoqué beaucoup d’engagement qui ne sont pas respectés par l’autorité. C’est ce qui nous a amené à déposer un préavis de grève avant-hier. Nous l’avions annoncé lors de la grève d’avertissement de 72 heures que nous avions observé au sortir de la conférence nationale des sections tenues à Toubacouta. Nous avions annoncé que l’SAES aller vers un dépôt de préavis de grève dans les jours à venir. Cela est fait. À l’expiration de ce préavis de grève, le SAES se réservera le droit de pouvoir mener les actions qu’il jugera nécessaire pour aller vers la satisfaction de ses revendications », précise Malick Fall.
Parlant d’une éventuelle renégociation, avec d’autres syndicats, M. Fall admet que le SAES restera pour le moment dans sa ligne directrice. « Je voudrais rappeler que le SAES est un syndicat qui a toujours était ouvert aux discussions. Mais nous ne sommes pas partisans des alliances contre nature. C’est vrai que nous sommes le syndicat le plus largement, majoritaire dans ce secteur. Ce n’est pas de l’autoglorification, c’est du factuel. C’est vrai, nous avons des collègues qui sont dans d’autres structures syndicales que nous respectons. Malheureusement nous attaquent souvent à tort. Poser des revendications qui tendent à aller vers la renégociation d’accord que nous-même, syndicat trop largement majoritaire avons déjà signé avec le gouvernement. Vous voyez, c’est assez compliqué pour nous de vouloir nous mettre autour d’une table avec ces syndicats pour mutualiser nos forces », dit-il.
Poursuivant ses propos, il ajoute : « Je pense qu’ils ont leur digne syndicat, nous avons la nôtre. Maintenant, si nous sommes tous mues par les mêmes intérêts pour l’Enseignement Supérieur, il ne serait pas fortuit que nous puissions nous accorder sur ces questions que je viens d’évoquer. Pour le moment, nous restons sur notre ligne directrice ».
« Nous avons évoqué beaucoup d’engagement qui ne sont pas respectés par l’autorité. C’est ce qui nous a amené à déposer un préavis de grève avant-hier. Nous l’avions annoncé lors de la grève d’avertissement de 72 heures que nous avions observé au sortir de la conférence nationale des sections tenues à Toubacouta. Nous avions annoncé que l’SAES aller vers un dépôt de préavis de grève dans les jours à venir. Cela est fait. À l’expiration de ce préavis de grève, le SAES se réservera le droit de pouvoir mener les actions qu’il jugera nécessaire pour aller vers la satisfaction de ses revendications », précise Malick Fall.
Parlant d’une éventuelle renégociation, avec d’autres syndicats, M. Fall admet que le SAES restera pour le moment dans sa ligne directrice. « Je voudrais rappeler que le SAES est un syndicat qui a toujours était ouvert aux discussions. Mais nous ne sommes pas partisans des alliances contre nature. C’est vrai que nous sommes le syndicat le plus largement, majoritaire dans ce secteur. Ce n’est pas de l’autoglorification, c’est du factuel. C’est vrai, nous avons des collègues qui sont dans d’autres structures syndicales que nous respectons. Malheureusement nous attaquent souvent à tort. Poser des revendications qui tendent à aller vers la renégociation d’accord que nous-même, syndicat trop largement majoritaire avons déjà signé avec le gouvernement. Vous voyez, c’est assez compliqué pour nous de vouloir nous mettre autour d’une table avec ces syndicats pour mutualiser nos forces », dit-il.
Poursuivant ses propos, il ajoute : « Je pense qu’ils ont leur digne syndicat, nous avons la nôtre. Maintenant, si nous sommes tous mues par les mêmes intérêts pour l’Enseignement Supérieur, il ne serait pas fortuit que nous puissions nous accorder sur ces questions que je viens d’évoquer. Pour le moment, nous restons sur notre ligne directrice ».