La cour d'appel de Paris a confirmé le non-lieu que la justice française avait rendu en première instance, en 2014 dans l'affaire du naufrage du bateau le Djola qui avait fait 1850 morts. Une bataille de plus perdue pour les familles. Ce qu’a fait savoir un des avocats des victimes, mardi dernier. La procédure est enterrée depuis 2003 au Sénégal, date à laquelle la justice a conclu à la seule responsabilité du commandant de bord disparu dans le naufrage.
Les familles des victimes s'étaient alors tournées vers la justice française puisque dix-huit Français font partie des personnes ayant perdu la vie. En août 2003, une information judiciaire fut ouverte, en France, pour homicide involontaire. Le navire transportait 1 928 personnes, alors que la capacité d'embarquement était limitée à 536 passagers. Le ferry n'était pas en état de prendre la mer, les secours avaient tardé à arriver.
Les familles des victimes s'étaient alors tournées vers la justice française puisque dix-huit Français font partie des personnes ayant perdu la vie. En août 2003, une information judiciaire fut ouverte, en France, pour homicide involontaire. Le navire transportait 1 928 personnes, alors que la capacité d'embarquement était limitée à 536 passagers. Le ferry n'était pas en état de prendre la mer, les secours avaient tardé à arriver.
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