La Collectivité Lébou de Ouakam dénonce une tentative d’accaparement du Titre foncier de ladite collectivité. Jeunes, femmes, notables, sonnent la mobilisation sur le super plateau, face au monument de la renaissance pour sifflet la fin de la récréation.
« Nous avons un Titre foncier collectif. C’est le 507-17-51 NGA. Nous avons appris que des cokseurs l’ont vendu, sans notre avis, sans une attribution consensuelle. Donc les jeunes ont décidé de s’y opposer. Personne ne va toucher à notre Titre foncier collectif, sauf consensus, ou discussion entre nous », martèle Badoulaye Ndoye, Président des notables de la commune de Ouakam.
Poursuivant sa réaction, il ajoute : « Il y a un arrêté, qui ne nous concerne pas. C’est un arrêté qui contient des erreurs. On avait parlé au ministre. Au lieu de 700 parcelles attribuées, il parle de 1100 parcelles. Deuxièmement, cet arrêté parle de la collectivité Lébou de Ouakam. Cet arrêté ne nous concerne pas. Les jeunes ont le droit de sauvegarder leur patrimoine. Voilà pourquoi ces jeunes sont montés au plateau faire face à la presse pour avertir les autorités ».
« Nous avons un Titre foncier collectif. C’est le 507-17-51 NGA. Nous avons appris que des cokseurs l’ont vendu, sans notre avis, sans une attribution consensuelle. Donc les jeunes ont décidé de s’y opposer. Personne ne va toucher à notre Titre foncier collectif, sauf consensus, ou discussion entre nous », martèle Badoulaye Ndoye, Président des notables de la commune de Ouakam.
Poursuivant sa réaction, il ajoute : « Il y a un arrêté, qui ne nous concerne pas. C’est un arrêté qui contient des erreurs. On avait parlé au ministre. Au lieu de 700 parcelles attribuées, il parle de 1100 parcelles. Deuxièmement, cet arrêté parle de la collectivité Lébou de Ouakam. Cet arrêté ne nous concerne pas. Les jeunes ont le droit de sauvegarder leur patrimoine. Voilà pourquoi ces jeunes sont montés au plateau faire face à la presse pour avertir les autorités ».