A l’image de la pomme de terre, de l’oignon et de la tomate, le gouvernement a pris la mesure de geler les importations de riz pour permettre d’écouler la production locale. Une mesure de suspension des importations qui explique la pénurie ou la rupture de stock de riz importé notée ces derniers temps.
Indiquant que le Sénégal met chaque année près de 200 milliards de F CFA sur le marché extérieur pour les importations de riz, le ministre du Commerce de préciser : «Désormais, une partie de cette somme va aller dans la poche des producteurs sénégalais».
«C’est pourquoi nous avons gelé les importations pour permettre la commercialisation totale du riz local. Nous l’avons fait l’année dernière et nous avons repris le même dispositif cette année car nous voulons protéger nos producteurs », a expliqué Alioune Sarr.
Lors de la réunion de partage de la plateforme de régulation de la filière du riz, le ministre du Commerce a par ailleurs souligné que le Sénégal consomme 80.000 tonnes de riz par mois et avec les grands événements (Gamou, Magal,…) qui approchent, un accord a été trouvé avec le Premier ministre pour permettre un approvisionnement correct du marché.
«Il y a aura une ouverture qui sera faite pour contenir le niveau de la consommation prévue dans les prochaines semaines, tout en étant dans les dispositifs qui permettent, au fur et à mesure, de commercialiser le riz Sénégalais ».
Selon l’autorité de tutelle dans les colonnes de «l’Observateur», «le mécanisme reste le même sur deux (2) leviers : accompagner la promotion et la commercialisation du riz produit au Sénégal et, en même temps, assurer l’approvisionnement convenable des Sénégalais».
Indiquant que le Sénégal met chaque année près de 200 milliards de F CFA sur le marché extérieur pour les importations de riz, le ministre du Commerce de préciser : «Désormais, une partie de cette somme va aller dans la poche des producteurs sénégalais».
«C’est pourquoi nous avons gelé les importations pour permettre la commercialisation totale du riz local. Nous l’avons fait l’année dernière et nous avons repris le même dispositif cette année car nous voulons protéger nos producteurs », a expliqué Alioune Sarr.
Lors de la réunion de partage de la plateforme de régulation de la filière du riz, le ministre du Commerce a par ailleurs souligné que le Sénégal consomme 80.000 tonnes de riz par mois et avec les grands événements (Gamou, Magal,…) qui approchent, un accord a été trouvé avec le Premier ministre pour permettre un approvisionnement correct du marché.
«Il y a aura une ouverture qui sera faite pour contenir le niveau de la consommation prévue dans les prochaines semaines, tout en étant dans les dispositifs qui permettent, au fur et à mesure, de commercialiser le riz Sénégalais ».
Selon l’autorité de tutelle dans les colonnes de «l’Observateur», «le mécanisme reste le même sur deux (2) leviers : accompagner la promotion et la commercialisation du riz produit au Sénégal et, en même temps, assurer l’approvisionnement convenable des Sénégalais».
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