Farba Senghor n’a pas mis du temps pour apporter une réplique contre Moustapha Diakhaté, président du groupe parlementaire, Benno Bokk Yaakar qui avait soutenu dans un communiqué publié par la presse que « la double nationalité d’Abdoulaye Wade, révélée par les avocats de Karim Wade et confirmée par l’ancien Président lui-même représente un outrage fait à la République ».
Il y accuse Me Wade d’avoir commis « un grave manquement à la morale républicaine » et y propose des sanctions exemplaires contre lui pour fraude de nationalité « au nom de la vertu, de l’honnêteté et de l’honneur ».
Farba Senghor, l’ancien ministre dans sa réaction, déclare que : « contrairement aux allégations de Moustapha Diakhaté, l’ancien Président Me Abdoulaye Wade n’a jamais déclaré qu’il est détenteur d’une double nationalité française et sénégalaise ». Mieux encore, il affirme qu’il est « resté sénégalais et ne s’en est jamais départi ».
Il ajoute que : «Wade a fait parvenir par l’intermédiaire de son cabinet deux documents. L’un est titré ‘aux observateurs de la scène politique sénégalaise. Il y aborde la question de la nationalité sur le plan du droit international privé. L’autre intitulé sur la nationalité des Présidents du Sénégal est consacré à la nationalité de Senghor, Abdou Diouf, Abdoulaye Wade et Macky Sall, de même que celle d’autres Sénégalais, dont Mactar Mbow et sa femme », explique Farba Senghor.
L’ancien ministre révèle que Macky Sall a été français, mais aurait acquis la nationalité américaine et acheté une propriété à Houston. « Nous n’avons aucune preuve qu’il a renoncé à cette nationalité au moment où il se présentait à l’élection présidentielle en 2012. Macky Sall n’est pas capable de prouver une nationalité exclusivement sénégalaise. D’autres Sénégalais fort nombreux dans le gouvernement et ailleurs sont restés français. En tête, Mactar Mbow et sa femme », révèle-t-il.
Farba Senghor note que : « Moustapha Diakhaté a attribué à l’ancien Président Abdoulaye Wade des propos qu’il n’a jamais tenus afin de lui faire porter la double nationalité lorsqu’il était au pouvoir et de le discréditer face à l’opinion nationale et internationale ».
Selon lui, « il s’agit là d’une diffamation grave et inacceptable, mais sans fondement aucun en dehors de la haine que certains tenants du pouvoir portent à Me Wade et de leur soif de destruction ».
Il y accuse Me Wade d’avoir commis « un grave manquement à la morale républicaine » et y propose des sanctions exemplaires contre lui pour fraude de nationalité « au nom de la vertu, de l’honnêteté et de l’honneur ».
Farba Senghor, l’ancien ministre dans sa réaction, déclare que : « contrairement aux allégations de Moustapha Diakhaté, l’ancien Président Me Abdoulaye Wade n’a jamais déclaré qu’il est détenteur d’une double nationalité française et sénégalaise ». Mieux encore, il affirme qu’il est « resté sénégalais et ne s’en est jamais départi ».
Il ajoute que : «Wade a fait parvenir par l’intermédiaire de son cabinet deux documents. L’un est titré ‘aux observateurs de la scène politique sénégalaise. Il y aborde la question de la nationalité sur le plan du droit international privé. L’autre intitulé sur la nationalité des Présidents du Sénégal est consacré à la nationalité de Senghor, Abdou Diouf, Abdoulaye Wade et Macky Sall, de même que celle d’autres Sénégalais, dont Mactar Mbow et sa femme », explique Farba Senghor.
L’ancien ministre révèle que Macky Sall a été français, mais aurait acquis la nationalité américaine et acheté une propriété à Houston. « Nous n’avons aucune preuve qu’il a renoncé à cette nationalité au moment où il se présentait à l’élection présidentielle en 2012. Macky Sall n’est pas capable de prouver une nationalité exclusivement sénégalaise. D’autres Sénégalais fort nombreux dans le gouvernement et ailleurs sont restés français. En tête, Mactar Mbow et sa femme », révèle-t-il.
Farba Senghor note que : « Moustapha Diakhaté a attribué à l’ancien Président Abdoulaye Wade des propos qu’il n’a jamais tenus afin de lui faire porter la double nationalité lorsqu’il était au pouvoir et de le discréditer face à l’opinion nationale et internationale ».
Selon lui, « il s’agit là d’une diffamation grave et inacceptable, mais sans fondement aucun en dehors de la haine que certains tenants du pouvoir portent à Me Wade et de leur soif de destruction ».