Ibrahima Diop, Député de la Diaspora Europe du Nord Sud et Centre a dénoncé, ce mardi à l’Assemblée nationale, lors du vote du budget 2024 du ministère de l'Agriculture une vision ‘’perdue’’ du ’Yoonu Yokkute. Selon lui, cette vision du chef de l’Etat Macky Sall ne prend pas en compte une agriculture prospective. Pour lui, cela ne prévoit pas les défis qui doivent sous-tendre une agriculture pour un pays qui se veut émergent.
« Avec la vision perdue du ''Yoonu Yokkute’’, vous ne prenez pas en compte une agriculture prospective. C'est-à-dire prévoir les défis qui doivent sous-tendre une agriculture pour un pays qui se veut émergent. Je commence par la campagne agricole. Le prix de 280 F CFA. Vous devez discuter avec les agriculteurs pour avoir un prix qui doit arranger les agriculteurs. Mais ce qui reste, c'est la spéculation foncière. Ce que dit le président Mamadou Lamine Diallo, qui parle sur une tribune que j'avais lue, de la bourgeoisie foncière », a déclaré Ibrahima Diop.
Par ailleurs, il invite le ministre à rétablir la chaîne de valeur. « Pour la chaîne de valeur, nous devons la rétablir. Avec l'arachide, nous ne devons pas avoir que de l'huile. Nous devons avoir d'autres choses. Le gap de 1300 tonnes. La sortie du Premier ministre, je pense qu'il y a des choses qui l'échappent, des choses qu'il ne maîtrise pas. Parce que lui, quand il sort pour parler, ses prévisions ne sont pas atteignables. Comment pensez-vous que s'il y a beaucoup d'eau, cela peut causer une bonne production de l'arachide. La pluie peut être abondante et qu'il y ait une mauvaise production de l'arachide ou du mille. C'est ce que les techniciens du milieu ont dit », dit-il.
Poursuivant ses propos, il jette une grosse pierre au jardin du député Cheikh Seck. « Maintenant, nous avons vu qu'à chaque fois qu'il y a un salon sur l'agriculture à Paris, l'Assemblée nationale dépêche une délégation avec à sa tête Cheikh Seck. Mais je ne les ai jamais vu nous présenter un rapport. Je ne peux pas concevoir qu'on vous remette l'argent de l'Assemblée nationale, qui est l'argent du contribuable, arrivés à Paris vous vous rendez à la Tour Eiffel pour prendre des photos », tonne Ibrahima Diop.
« Avec la vision perdue du ''Yoonu Yokkute’’, vous ne prenez pas en compte une agriculture prospective. C'est-à-dire prévoir les défis qui doivent sous-tendre une agriculture pour un pays qui se veut émergent. Je commence par la campagne agricole. Le prix de 280 F CFA. Vous devez discuter avec les agriculteurs pour avoir un prix qui doit arranger les agriculteurs. Mais ce qui reste, c'est la spéculation foncière. Ce que dit le président Mamadou Lamine Diallo, qui parle sur une tribune que j'avais lue, de la bourgeoisie foncière », a déclaré Ibrahima Diop.
Par ailleurs, il invite le ministre à rétablir la chaîne de valeur. « Pour la chaîne de valeur, nous devons la rétablir. Avec l'arachide, nous ne devons pas avoir que de l'huile. Nous devons avoir d'autres choses. Le gap de 1300 tonnes. La sortie du Premier ministre, je pense qu'il y a des choses qui l'échappent, des choses qu'il ne maîtrise pas. Parce que lui, quand il sort pour parler, ses prévisions ne sont pas atteignables. Comment pensez-vous que s'il y a beaucoup d'eau, cela peut causer une bonne production de l'arachide. La pluie peut être abondante et qu'il y ait une mauvaise production de l'arachide ou du mille. C'est ce que les techniciens du milieu ont dit », dit-il.
Poursuivant ses propos, il jette une grosse pierre au jardin du député Cheikh Seck. « Maintenant, nous avons vu qu'à chaque fois qu'il y a un salon sur l'agriculture à Paris, l'Assemblée nationale dépêche une délégation avec à sa tête Cheikh Seck. Mais je ne les ai jamais vu nous présenter un rapport. Je ne peux pas concevoir qu'on vous remette l'argent de l'Assemblée nationale, qui est l'argent du contribuable, arrivés à Paris vous vous rendez à la Tour Eiffel pour prendre des photos », tonne Ibrahima Diop.