Le président de l’Alliance Pentio et membre de la coalition Manko Taxawu Senegaal attire l’attention des 7 sages du Conseil constitutionnel. Selon Moussa Tine, «aucune loi ne peut expliquer l’invalidation de la candidature de Khalifa Ababacar Sall».
«La candidature de Khalifa Sall est une évidence juridique, c’est-à-dire que personne, ici au Sénégal ne peut sortir un seul argument de droit qui montrerait que Khalifa Sall n’a pas le droit de se présenter à la candidature à l’élection présidentielle de 2019 » déclare Moussa Tine.
Le président de l’Alliance Pentio et membre de la coalition Manko Taxawu Senegaal de poursuivre : «Devant l’évidence de la candidature de Kahlifa Sall, je voulais demander solennellement au Conseil constitutionnel que si ils n’ont d’autres choix d’invalider la candidature de Khalifa Sall, si on n’a pas laissé aux membres du Conseil constitutionnel un autre choix que celui de prononcer le rejet de la candidature de Khalifa Sall, je leur demande, au moins une seule chose, c’est de savoir que le Sénégal ne s’arrête pas à Khalifa Ababacar Sall et qu’il y a un jour après l’élection présidentielle du 24 février 2019.»
«Je leur demande au moins de changer la motivation qu’ils ont avancé pour invalider la candidature de Khalifa Sall», conlut-il sur Sud Fm.
«La candidature de Khalifa Sall est une évidence juridique, c’est-à-dire que personne, ici au Sénégal ne peut sortir un seul argument de droit qui montrerait que Khalifa Sall n’a pas le droit de se présenter à la candidature à l’élection présidentielle de 2019 » déclare Moussa Tine.
Le président de l’Alliance Pentio et membre de la coalition Manko Taxawu Senegaal de poursuivre : «Devant l’évidence de la candidature de Kahlifa Sall, je voulais demander solennellement au Conseil constitutionnel que si ils n’ont d’autres choix d’invalider la candidature de Khalifa Sall, si on n’a pas laissé aux membres du Conseil constitutionnel un autre choix que celui de prononcer le rejet de la candidature de Khalifa Sall, je leur demande, au moins une seule chose, c’est de savoir que le Sénégal ne s’arrête pas à Khalifa Ababacar Sall et qu’il y a un jour après l’élection présidentielle du 24 février 2019.»
«Je leur demande au moins de changer la motivation qu’ils ont avancé pour invalider la candidature de Khalifa Sall», conlut-il sur Sud Fm.