Les révélations du président Macky Sall comme quoi, le gouvernement dépense 307 milliards de F CFA pour l’achat de véhicule et 17 milliards pour les lignes de communication téléphonique ne laissent pas indifférentes le Forum civil. La section Sénégalaise de Transparency International attend des actes concrets pour rationaliser les dépenses de l’Etat du Sénégal. « Des agences avaient été déjà dissoutes, et d’autres ont été créées. Nous pensons au-delà des constats, il faut aller vers l’action. L’action peut être une évaluation de la dépense publique, une évaluation des rendements de l’administration. Il faut qu’on sorte de ces gadget là, et qu’on entre réellement dans la réforme », a indiqué Abdou Malik Bousso, du Forum civil.
Poursuivant ses propos, il ajoute : « Au Procureur de la République qui a communiqué dernièrement sur le dossier judiciaire. Ce qu’il était nécessaire qu’en communiquant, les charges qui sont retenues contre les prévenus, soient très clairement établies. Au lieu on a assisté à cette exercice assez déroutant où on reproche le matin quelque chose à un prévenu et l’après midi autre chose. Nous pensons qu’il y va de la liberté des Sénégalais ».
Monsieur Bousso au micro de Walf radio précise que « ce type de traitement devrait être fait avec plus de rigueur. Et par conséquent les citoyens, et aussi nous nous sommes adressé à eux pour faire comprendre que les débats publics, les libertés, sont consacrées par la Constitution. Leur usage est la jouissance de ses droits et les libertés se conjuguent avec la responsabilité ».
Poursuivant ses propos, il ajoute : « Au Procureur de la République qui a communiqué dernièrement sur le dossier judiciaire. Ce qu’il était nécessaire qu’en communiquant, les charges qui sont retenues contre les prévenus, soient très clairement établies. Au lieu on a assisté à cette exercice assez déroutant où on reproche le matin quelque chose à un prévenu et l’après midi autre chose. Nous pensons qu’il y va de la liberté des Sénégalais ».
Monsieur Bousso au micro de Walf radio précise que « ce type de traitement devrait être fait avec plus de rigueur. Et par conséquent les citoyens, et aussi nous nous sommes adressé à eux pour faire comprendre que les débats publics, les libertés, sont consacrées par la Constitution. Leur usage est la jouissance de ses droits et les libertés se conjuguent avec la responsabilité ».