Le Président Macky Sall a pris un décret pour convoquer le collège électoral le. Le référendum se tiendra effectivement le 20 mars prochain. Dans le même décret, il est précisé que la campagne électorale débute le 12 mars prochain pour finir dans la soirée du 18 mars. En attendant, il faut dire que le Président multiplie les rencontres et audiences pour clarifier sa position qui a été de suivre à la lettre la décision du Conseil constitutionnel.
Selon le journal « Libération », il reçoit encore les leaders de Benno Bokk Yakaar (BBY) aujourd'hui, à 17 heures. Vendredi et samedi passés, Macky Sall avait échangé avec presque tous ses soutiens pour une séance d’explications, mais aussi de mobilisation en vue du référendum.
Recevant par exemple, une délégation de 150 membres de la Coalition pour l’émergence dirigée par Me Ousmane Sèye, le Président s’est voulu clair : « Avis ou décision, lorsque le Conseil constitutionnel me demande de suivre une voie, je la suis. Je suis un Républicain et je me conformerai toujours à la loi, car le Conseil constitutionnel a fondé son argumentaire sur le droit», souligne Macky Sall. Avant d’ajouter : « Je voulais appliquer la réduction au mandat en cours mais le Conseil constitutionnel m’a dit que ce serait violer la loi. Je ne peux pas initier des réformes majeures et être le premier à violer la Constitution».
Selon le journal « Libération », il reçoit encore les leaders de Benno Bokk Yakaar (BBY) aujourd'hui, à 17 heures. Vendredi et samedi passés, Macky Sall avait échangé avec presque tous ses soutiens pour une séance d’explications, mais aussi de mobilisation en vue du référendum.
Recevant par exemple, une délégation de 150 membres de la Coalition pour l’émergence dirigée par Me Ousmane Sèye, le Président s’est voulu clair : « Avis ou décision, lorsque le Conseil constitutionnel me demande de suivre une voie, je la suis. Je suis un Républicain et je me conformerai toujours à la loi, car le Conseil constitutionnel a fondé son argumentaire sur le droit», souligne Macky Sall. Avant d’ajouter : « Je voulais appliquer la réduction au mandat en cours mais le Conseil constitutionnel m’a dit que ce serait violer la loi. Je ne peux pas initier des réformes majeures et être le premier à violer la Constitution».