L’Apr est en lambeau dans le Baol et un peu partout dans le pays. Beaucoup de responsables mettent en avant leurs intérêts crypto-personnel. Le diagnostique a été fait par un membre du comité directeur de l’Apr, en tournée dans la région de Diourbel. Il appelle les apéristes à revoir leur copie pour la bonne marche de leur formation politique.
« Nous avons constaté, qu’il y a des difficultés dans un certain ensemble de construction, surtout au niveau politique. Le relais qui doit exister entre les populations et les techniciens de la République. Mais, nous avons constaté que beaucoup de nos camarades s’entre-déchirent, ils se querellent et même, ils rejettent d’autres volontés et les Sénégalais qui veulent accompagner le chef de l’Etat », a-t-il constaté.
«La préoccupation de certains responsables, ce n’est pas d’accompagner le président dans ce qu’il est en train de faire. Pour moi, la lecture que j’ai de ces comportements là, c’est qu’ils ne gèrent que leur calendrier et leur intérêt crypto-personnel. Et cela doit finir. Et d’être sincère dans ses retrouvailles de laisser derrière eux les querelles, de laisser derrière eux le rejet des autres, mais surtout qu’ils fassent de la place a ses gens là, des acteurs de développement », indique Hamady Dieng au micro de Walf radio.
« Nous avons constaté, qu’il y a des difficultés dans un certain ensemble de construction, surtout au niveau politique. Le relais qui doit exister entre les populations et les techniciens de la République. Mais, nous avons constaté que beaucoup de nos camarades s’entre-déchirent, ils se querellent et même, ils rejettent d’autres volontés et les Sénégalais qui veulent accompagner le chef de l’Etat », a-t-il constaté.
«La préoccupation de certains responsables, ce n’est pas d’accompagner le président dans ce qu’il est en train de faire. Pour moi, la lecture que j’ai de ces comportements là, c’est qu’ils ne gèrent que leur calendrier et leur intérêt crypto-personnel. Et cela doit finir. Et d’être sincère dans ses retrouvailles de laisser derrière eux les querelles, de laisser derrière eux le rejet des autres, mais surtout qu’ils fassent de la place a ses gens là, des acteurs de développement », indique Hamady Dieng au micro de Walf radio.