«Nous sommes à peu près une vingtaine d’enseignants convoqués et il y a certains camarades qui n’ont pas été convoqués mais qui sont venus nous soutenir, de même que des camarades du lycée Blaise Diagne», campe Mouhamadou Seydou Diarra qui soutient qu’ils vont mener le combat. «Nous comptons respecter le mot d’ordre de notre syndicat qui est de ne pas signer l’accusé de réception des réquisitions autrement dit, nous ne comptons pas les prendre», précise-t-il.
Selon lui, «dans cette affaire, l’Etat est le premier à avoir enfreint la loi. Nous sommes dans une logique d’exception d’exécution. L’Etat n’a pas respecté sa part du contrat en ne nous accordant pas notre dû, qui est le droit à l’avancement, un droit sacré pour tout fonctionnaire». «Il nous refuse ça aujourd’hui et nous ne sommes pas tenus nous non plus, comme le donne le droit à la grève, de respecter la part de notre contrat», menace l'enseignant.
Justifier leurs actes, Mouhamadou Seydou Diarra d’affirmer au micro de Walf radio: «Le droit que nous sommes entrain d’exercer, c’est un droit sacré, donc nous n’enfreignons nullement la loi. Et, nous sommes conscients de cela».
Selon lui, «dans cette affaire, l’Etat est le premier à avoir enfreint la loi. Nous sommes dans une logique d’exception d’exécution. L’Etat n’a pas respecté sa part du contrat en ne nous accordant pas notre dû, qui est le droit à l’avancement, un droit sacré pour tout fonctionnaire». «Il nous refuse ça aujourd’hui et nous ne sommes pas tenus nous non plus, comme le donne le droit à la grève, de respecter la part de notre contrat», menace l'enseignant.
Justifier leurs actes, Mouhamadou Seydou Diarra d’affirmer au micro de Walf radio: «Le droit que nous sommes entrain d’exercer, c’est un droit sacré, donc nous n’enfreignons nullement la loi. Et, nous sommes conscients de cela».