Le Syndicat des Transporteurs Routiers et des Hydrocarbures (STRH), de l’Association des Transporteurs du Pétrole (ATP) et le collectif des transporteurs routiers du Sénégal sont montés au créneau, ce lundi 27 janvier 2020 pour lancer un message d’alerte aux autorités. Ils se disent déterminés à préserver la vie de leurs entreprises. Le syndicat dénonce des blocages dans leur secteur d’activité.
« Il est vrai que l’objet de la réunion d’aujourd’hui porte essentiellement sur le règlement 14 de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). Cela ne veut pas dire que nous n’avons pas d’autres problèmes. Il y a un problème focal qui est en train de mettre à nu, nos entreprises. Nous investissons en prenant beaucoup de risques, nous empruntons de l’argent, nous faisons beaucoup de recrutement nous sommes des Sénégalais, et le développement de notre pays nous tient à cœur », martèle Cheikh Dieng le Président du STRH.
Selon lui, s’ils ont décidé de lancer un appel à l’autorité, c’est pour éviter des situations de blocage. « Nous avons décidé de lancer un appel aux autorités, parce que nous allons directement vers le blocage, pour des raisons simples. Le règlement 14, c’est une bonne chose. Nous payons les taxes, mais tout a une limite. Lorsque l’on exige d’un transporteur qu’il répartisse la charge totale par essieu, et qu’aucun essieu ne doit dépasser la limite autorisée, il faut nous dire comment ont fait. Une entreprise a besoin d’un Etat. Sans des entreprises nationales viables, tout est porté vers l’échec », soutient M. Dieng.
« Il est vrai que l’objet de la réunion d’aujourd’hui porte essentiellement sur le règlement 14 de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). Cela ne veut pas dire que nous n’avons pas d’autres problèmes. Il y a un problème focal qui est en train de mettre à nu, nos entreprises. Nous investissons en prenant beaucoup de risques, nous empruntons de l’argent, nous faisons beaucoup de recrutement nous sommes des Sénégalais, et le développement de notre pays nous tient à cœur », martèle Cheikh Dieng le Président du STRH.
Selon lui, s’ils ont décidé de lancer un appel à l’autorité, c’est pour éviter des situations de blocage. « Nous avons décidé de lancer un appel aux autorités, parce que nous allons directement vers le blocage, pour des raisons simples. Le règlement 14, c’est une bonne chose. Nous payons les taxes, mais tout a une limite. Lorsque l’on exige d’un transporteur qu’il répartisse la charge totale par essieu, et qu’aucun essieu ne doit dépasser la limite autorisée, il faut nous dire comment ont fait. Une entreprise a besoin d’un Etat. Sans des entreprises nationales viables, tout est porté vers l’échec », soutient M. Dieng.