Certains défenseurs des Droits des enfants ont soutenu que le retrait des enfants de la rue ne peut se faire par une démarche répressive. Pour eux, il faut une approche participative. Ils l’ont fait savoir à Pikine en présence des maîtres coraniques.
Selon Alioune Sarr leur porte-parole, « en ce qui concerne le retrait des enfants, il ne faut pas qu’on soit bousculé de part et d’autre pour qu’on les mette dans des opérations coup de poing. Ce n’est pas avec des opérations coup de poing qu’on va retirer ces enfants là. Nous sommes tous des Sénégalais. Nous connaissons la réalité des Daaras et des talibés. C’est pour cela, on a mis en place une stratégie durable ».
Pour M. Sarr, « il faut aller au-delà de l’événement. Installer des stratégies pérennes pour montrer aux gens que la place des enfants n’est pas la rue. Nous donnons tous les pouvoirs au CDP. Nous sommes là, à Pikine Guédiawaye et Rufisque pour transférer les compétences aux CDP desdites localités ».
Poursuivant ses propos, il précise : « Vous savez, il y n’a pas que les enfants talibés dans la rue. Ce qui fait que nous allons démarrer par les enfants talibés qui sont 95 % dans la rue. La plupart de ces enfants-là, viennent de l’intérieur du pays », rapporte Walf radio.
Selon Alioune Sarr leur porte-parole, « en ce qui concerne le retrait des enfants, il ne faut pas qu’on soit bousculé de part et d’autre pour qu’on les mette dans des opérations coup de poing. Ce n’est pas avec des opérations coup de poing qu’on va retirer ces enfants là. Nous sommes tous des Sénégalais. Nous connaissons la réalité des Daaras et des talibés. C’est pour cela, on a mis en place une stratégie durable ».
Pour M. Sarr, « il faut aller au-delà de l’événement. Installer des stratégies pérennes pour montrer aux gens que la place des enfants n’est pas la rue. Nous donnons tous les pouvoirs au CDP. Nous sommes là, à Pikine Guédiawaye et Rufisque pour transférer les compétences aux CDP desdites localités ».
Poursuivant ses propos, il précise : « Vous savez, il y n’a pas que les enfants talibés dans la rue. Ce qui fait que nous allons démarrer par les enfants talibés qui sont 95 % dans la rue. La plupart de ces enfants-là, viennent de l’intérieur du pays », rapporte Walf radio.