Les jours se poursuivent avec leur lot de révélations dans l'affaire de l'étudiant, Bassirou Faye tué le 14 août dernier dans des affrontements entre forces de l'ordre et pensionnaires de l'Université Cheikh Anta Diop. Malgré́ les déclarations des uns et des autres, l’enquête de la Division des Investigations Criminelles (DIC) a déjà conduit à l’arrestation de Tombong Oualy sur qui pèsent des indices graves et concordants. Premièrement, le suspect n°1 a reconnu lui-même qu’il s’est rendu sur le théâtre des événements.
Ce, le jour des faits et de son propre gré́. Ainsi, précise "libération", c’est en auditionnant tous les policiers qui se sont déployés sur les lieux que "l’intrus" a été́ identifié avec l’aide de certains de ses collègues qui l’ont vu sur le terrain, alors que les recoupements faits par la DIC ont montré que son nom ne figure pas sur le registre des effectifs.
Deuxièment, une balle manquait dans l’arme du présumé́ tireur qui devait la rendre depuis qu’il a quitté le Groupement Mobile d’Intervention (GMI). Interrogé, Tombong Oualy a argué qu’il a effectué avec un tir d’essai sans plus de précision. Enfin troisièmement, la DIC a établi que le surplus de munitions que détenait Tombon Oualy s’explique par un...vol.
En effet, selon nos confrères, le présumé́ meurtrier de feu Bassirou Faye a attendu qu’un de ses amis exerçant au commissariat du Point E le laisse seul dans son bureau pour commettre son forfait. Déferré vendredi dernier, Tombon Oualy a bénéficié́ d’un retour au parquet. C’est, aujourd’hui, qu’il va être sans doute édifié́ sur son sort.
Ce, le jour des faits et de son propre gré́. Ainsi, précise "libération", c’est en auditionnant tous les policiers qui se sont déployés sur les lieux que "l’intrus" a été́ identifié avec l’aide de certains de ses collègues qui l’ont vu sur le terrain, alors que les recoupements faits par la DIC ont montré que son nom ne figure pas sur le registre des effectifs.
Deuxièment, une balle manquait dans l’arme du présumé́ tireur qui devait la rendre depuis qu’il a quitté le Groupement Mobile d’Intervention (GMI). Interrogé, Tombong Oualy a argué qu’il a effectué avec un tir d’essai sans plus de précision. Enfin troisièmement, la DIC a établi que le surplus de munitions que détenait Tombon Oualy s’explique par un...vol.
En effet, selon nos confrères, le présumé́ meurtrier de feu Bassirou Faye a attendu qu’un de ses amis exerçant au commissariat du Point E le laisse seul dans son bureau pour commettre son forfait. Déferré vendredi dernier, Tombon Oualy a bénéficié́ d’un retour au parquet. C’est, aujourd’hui, qu’il va être sans doute édifié́ sur son sort.