Le Secrétariat exécutif national de la LD-Debout peint le tableau sombre de la gestion de Macky Sall. Il s’est réuni mercredi pour lancer l’alerte sur la situation socio-économique « catastrophique du pays ».
E effet, Pape Sarr et Cie accusent le régime en place d’appliquer sournoisement un ajustement structurel déguisé.
« La situation socio-économique du Sénégal connaît un niveau de dégradation rarement atteint. Les scandales sur le pétrole, le gaz, et le fer, les inondations, l’affaire Jeanne d’Arc, les nombreux accidents macabres, la polémique confrérique font le lit d’un contexte social alourdi par l’ajustement structurel déguisé, que le pouvoir aux abois de Macky Sall applique de façon sournoise. Ce, rien que pour se conformer aux exigences du FMI », a indiqué le Secrétariat exécutif national de la LD-Debout.
Selon les révélations de Pape Sarr et Cie, sous le coup de la banqueroute financière, l’Etat joue dans les astuces tarifaires pour pressurer d’avantage les citoyens et poursuivre son entreprise « diabolique d’étouffement des entreprises par une dette qu’elle refuse de solder », disent-ils, dans les colonnes du journal « Les Echos ».
E effet, Pape Sarr et Cie accusent le régime en place d’appliquer sournoisement un ajustement structurel déguisé.
« La situation socio-économique du Sénégal connaît un niveau de dégradation rarement atteint. Les scandales sur le pétrole, le gaz, et le fer, les inondations, l’affaire Jeanne d’Arc, les nombreux accidents macabres, la polémique confrérique font le lit d’un contexte social alourdi par l’ajustement structurel déguisé, que le pouvoir aux abois de Macky Sall applique de façon sournoise. Ce, rien que pour se conformer aux exigences du FMI », a indiqué le Secrétariat exécutif national de la LD-Debout.
Selon les révélations de Pape Sarr et Cie, sous le coup de la banqueroute financière, l’Etat joue dans les astuces tarifaires pour pressurer d’avantage les citoyens et poursuivre son entreprise « diabolique d’étouffement des entreprises par une dette qu’elle refuse de solder », disent-ils, dans les colonnes du journal « Les Echos ».