La Ligue Sénégalaise des Droits Humains (L.S.D.H) a organisé ce mercredi, un atelier pour préparer les détenus à la réinsertion sociale au Sénégal. Des échanges sur la formation pour les détenus en vie sur leur réinsertion dans la société ont eu lieu entre les membres de la L.S.D.H et l'administration pénitentiaire avec l'aide financier de la France.
« Nous avons constaté qu’au Sénégal, il y avait beaucoup de récidives après les grâces, les libérations. Nous avons pensé qu’il fallait aider les détenus au Sénégal en essayant de préparer leur réinsertion sociale. Pour ce faire, il faut leur préparer pour leur réinsertion sociale, un métier pour une protection. Et nous avons demandé à l’administration pénitentiaire avec l’aide de la France qui nous a financé cet atelier-là. Donc de venir au Camp Pénal travailler avec les membres de l’Administration Pénitentiaire de façons à pouvoir trouvé des espaces d’échange, discuter, trouver des formules pour que demain, on puisse installer des ateliers. Pour permettre aux détenus de préparer leur insertion sociale. Pour l’instant, c’est le métier de cordonnerie qui va être installé dans les meilleurs délais », a déclaré Alassane Seck Président de la L.S.D.H.
Poursuivant ses propos, le membre de la Fédération Internationale des Lignes des Droits de l'Homme (FIDH) d'indiquer : « Le problème de la réinsertion sociale est difficile. La société est dans la difficulté pour comprendre les détenus. Il est important de rappeler à tout le monde que nul n’est à l’abri de la prison. Et nous demandons à ce que la société soit sensibilisée, beaucoup plus humaine pour préparer à les aider parce que demain, chacun de nous peut être à la même place. Notre option est de préparer la réinsertion des détenus leur préparer un métier de formation dans tous les corps de métier à savoir la cordonnerie, la maçonnerie, la menuiserie métallique, etc. Dans les prisons au Sénégal, les conditions de vie sont très difficiles. On peut constater pour le regretter, que les conditions de détention sont très difficiles. De temps en temps ici et là on entend quelques récriminations, de grève de la faim des détenus, parce qu’ils sont dans des conditions effroyable».
Pour le contrôleur Marieme Bâ Traoré, responsable communication de l’Administration Pénitentiaire cet atelier rentre dans le cadre de la mission de l’administration pénitentiaire qui est une double mission. « En-dehors de la mission de sécurité, nous avons une mission de préparation à la réinsertion sociale. C’est pourquoi nous profitons de cette occasion pour remercier la ligue sénégalaise des droits de l’homme et l’Ambassade de France pour cet appui. Cet atelier a permis aujourd’hui de renforcer les capacités de l’Administration Pénitentiaire. Vous verrez bien le thème : quelle formation pour les détenus en vie d’une réinsertion sociale. Donc ça rentre dans le cadre de notre mission », dit-elle.
Mieux précise le contrôleur Marieme Bâ Traoré, « les résultats aujourd’hui permet de lister l’ensemble des activités de réinsertion sociale pour préserver les acquis. Sous l’impulsion du Directeur de l’Administration Pénitentiaire le Colonel Jean Bertrand Bocandé, beaucoup d’initiatives ont été prise. Aujourd’hui, on parle du centre de formation pénitentiaire industriel qui est au niveau de la Jacques de Mbao, on a l’unité de production laitière qui est à Sébikotane, le centre d’instruction des mineurs à la MAC de Hann, la Ferme agricole de Rose Béthio ou nous avons 50 hectare, entre autre. Les défis, c’est de préserver les acquis qui sont là ».
« Nous avons constaté qu’au Sénégal, il y avait beaucoup de récidives après les grâces, les libérations. Nous avons pensé qu’il fallait aider les détenus au Sénégal en essayant de préparer leur réinsertion sociale. Pour ce faire, il faut leur préparer pour leur réinsertion sociale, un métier pour une protection. Et nous avons demandé à l’administration pénitentiaire avec l’aide de la France qui nous a financé cet atelier-là. Donc de venir au Camp Pénal travailler avec les membres de l’Administration Pénitentiaire de façons à pouvoir trouvé des espaces d’échange, discuter, trouver des formules pour que demain, on puisse installer des ateliers. Pour permettre aux détenus de préparer leur insertion sociale. Pour l’instant, c’est le métier de cordonnerie qui va être installé dans les meilleurs délais », a déclaré Alassane Seck Président de la L.S.D.H.
Poursuivant ses propos, le membre de la Fédération Internationale des Lignes des Droits de l'Homme (FIDH) d'indiquer : « Le problème de la réinsertion sociale est difficile. La société est dans la difficulté pour comprendre les détenus. Il est important de rappeler à tout le monde que nul n’est à l’abri de la prison. Et nous demandons à ce que la société soit sensibilisée, beaucoup plus humaine pour préparer à les aider parce que demain, chacun de nous peut être à la même place. Notre option est de préparer la réinsertion des détenus leur préparer un métier de formation dans tous les corps de métier à savoir la cordonnerie, la maçonnerie, la menuiserie métallique, etc. Dans les prisons au Sénégal, les conditions de vie sont très difficiles. On peut constater pour le regretter, que les conditions de détention sont très difficiles. De temps en temps ici et là on entend quelques récriminations, de grève de la faim des détenus, parce qu’ils sont dans des conditions effroyable».
Pour le contrôleur Marieme Bâ Traoré, responsable communication de l’Administration Pénitentiaire cet atelier rentre dans le cadre de la mission de l’administration pénitentiaire qui est une double mission. « En-dehors de la mission de sécurité, nous avons une mission de préparation à la réinsertion sociale. C’est pourquoi nous profitons de cette occasion pour remercier la ligue sénégalaise des droits de l’homme et l’Ambassade de France pour cet appui. Cet atelier a permis aujourd’hui de renforcer les capacités de l’Administration Pénitentiaire. Vous verrez bien le thème : quelle formation pour les détenus en vie d’une réinsertion sociale. Donc ça rentre dans le cadre de notre mission », dit-elle.
Mieux précise le contrôleur Marieme Bâ Traoré, « les résultats aujourd’hui permet de lister l’ensemble des activités de réinsertion sociale pour préserver les acquis. Sous l’impulsion du Directeur de l’Administration Pénitentiaire le Colonel Jean Bertrand Bocandé, beaucoup d’initiatives ont été prise. Aujourd’hui, on parle du centre de formation pénitentiaire industriel qui est au niveau de la Jacques de Mbao, on a l’unité de production laitière qui est à Sébikotane, le centre d’instruction des mineurs à la MAC de Hann, la Ferme agricole de Rose Béthio ou nous avons 50 hectare, entre autre. Les défis, c’est de préserver les acquis qui sont là ».