«Le stress lié au travail est un problème de santé majeur dans de nombreux pays et différents types de lieux de travail. Le développement des risques psycho-sociaux est généralement en rapport à la transformation du travail ainsi qu’à l’environnement économique et social », lance le vice-président du CNP, Aristide Tino Adediran.
Selon le ministre du travail, les problèmes liés au stress, à la souffrance et le harcèlement au travail « font appel de la part des décideurs, à des actions encore plus importantes à travers plusieurs niveaux pour renforcer les mécanismes de préventions, de sensibilisations et de formation des acteurs sociaux au niveau des entreprises ».
«Nous sommes dans un monde concurrentiel où de plus en plus les entreprises et les travailleurs doivent fournir plus d’efforts ou subir plus de pression pour avoir plus de résultats », décline Mansour SY.
Indiquant que « beaucoup de travailleurs dans l’environnement peuvent être d’une façon ou d’une autre affectés par le biais du stress, au le harcèlement », la tutelle de poursuivre: «Les études qui ont été faites au Sénégal, montrent que ces problèmes dénoncés touchent un secteur spécifique. Au niveau national, nous avons identifié les personnes qui s’adonnent à des activités de communication téléphonique, ou qui sont à l’accueil. Dans les autres secteurs, le travail d’étude et d’enquête sont en train de se poursuivre ».
Le ministre signale ainsi que dans la plupart des pays, les risques psycho-sociaux se traduisent par des suicides et comme on n’est pas arrivé à ce stade au niveau national, il est vraiment nécessaire d’approfondir la réflexion.
Pour le spécialiste de la sécurité et de santé au travail, Ton That Khai, le mois d’avril, mois de la prévention est devenu au Sénégal une véritable campagne active et participative de promotion de la culture de prévention. C’est aussi, un véritable symposium en Afrique pour l’information, la formation et le perfectionnement des acteurs de la sécurité et santé au travail.
Selon le ministre du travail, les problèmes liés au stress, à la souffrance et le harcèlement au travail « font appel de la part des décideurs, à des actions encore plus importantes à travers plusieurs niveaux pour renforcer les mécanismes de préventions, de sensibilisations et de formation des acteurs sociaux au niveau des entreprises ».
«Nous sommes dans un monde concurrentiel où de plus en plus les entreprises et les travailleurs doivent fournir plus d’efforts ou subir plus de pression pour avoir plus de résultats », décline Mansour SY.
Indiquant que « beaucoup de travailleurs dans l’environnement peuvent être d’une façon ou d’une autre affectés par le biais du stress, au le harcèlement », la tutelle de poursuivre: «Les études qui ont été faites au Sénégal, montrent que ces problèmes dénoncés touchent un secteur spécifique. Au niveau national, nous avons identifié les personnes qui s’adonnent à des activités de communication téléphonique, ou qui sont à l’accueil. Dans les autres secteurs, le travail d’étude et d’enquête sont en train de se poursuivre ».
Le ministre signale ainsi que dans la plupart des pays, les risques psycho-sociaux se traduisent par des suicides et comme on n’est pas arrivé à ce stade au niveau national, il est vraiment nécessaire d’approfondir la réflexion.
Pour le spécialiste de la sécurité et de santé au travail, Ton That Khai, le mois d’avril, mois de la prévention est devenu au Sénégal une véritable campagne active et participative de promotion de la culture de prévention. C’est aussi, un véritable symposium en Afrique pour l’information, la formation et le perfectionnement des acteurs de la sécurité et santé au travail.