«Les attentats de Ouagadougou ont signé la fin des exceptions en Afrique de l’Ouest », campe le Pr Bakary Samb. Selon ce dernier, «la porosité des frontières, le voisinage (du Sénégal) avec des pays comme le Mali et ce que cela pose en terme de surveillance des frontières est qu’aujourd’hui, aucun pays frontalier du Mali ne peut plus dormir tranquille».
Sur les solutions, le Professeur de l’Université Gaston Berger de Saint Louis préconise «des voies (qui) peuvent être la déradicalisation, des solutions pour qu’il y est des désertions de ces mouvements-là. Pourquoi pas aujourd’hui, investir les ressources culturelles endogènes africaines sur les médiations et qu’on soit beaucoup plus optimistes dans les possibilités de les réintégrer dans les sociétés».
Le Pr Bakary Samb se prononçait en marge de la journée de réflexion et de discussion sur les enjeux de la régionalisation du terrorisme en Afrique de l’Ouest, organisée par le Réseau des Jeunes pour la Promotion des Droits Humains (RJPDH) en partenariat avec la Fondation Friedrich Neumann.
Sur les solutions, le Professeur de l’Université Gaston Berger de Saint Louis préconise «des voies (qui) peuvent être la déradicalisation, des solutions pour qu’il y est des désertions de ces mouvements-là. Pourquoi pas aujourd’hui, investir les ressources culturelles endogènes africaines sur les médiations et qu’on soit beaucoup plus optimistes dans les possibilités de les réintégrer dans les sociétés».
Le Pr Bakary Samb se prononçait en marge de la journée de réflexion et de discussion sur les enjeux de la régionalisation du terrorisme en Afrique de l’Ouest, organisée par le Réseau des Jeunes pour la Promotion des Droits Humains (RJPDH) en partenariat avec la Fondation Friedrich Neumann.