On en sait davantage sur le troisième round du dialogue togolais repris vendredi dernier et suspendu quelques heures après. Selon le communiqué de la coalition des 14 partis de l’opposition, les travaux se sont déroulés en une série de plénières et de consultations au cours desquelles le facilitateur, le président Nana Akufo-Addo, a souhaité connaître la limite que chacune des parties s’impose.
La réponse de Jean-Pierre Fabre, chef de file de l’opposition : « Nous ne pouvons pas laisser Faure Gnassingé être candidat en 2020, ce n'est pas possible, il n'est pas question que nous l'acceptions. Donc nous avons donné les conditions d'éligibilité du président de la République : la limitation des mandats, avec la mention que nous ne lâcherons jamais. »
A ces points s’ajoutent le mode de scrutin uninominal à deux tours pour l’élection du président de la République, les prérogatives et le mode de désignation du Premier ministre, et la recomposition de la Cour constitutionnelle. Enfin, l’opposition ne compte pas laisser le président Faure Gnassingbé gouverner seul jusqu’en 2020. « A partir de 2020, il ne sera plus candidat. Il faut un gouvernement de transition, une transition de partage des responsabilités. Nous n'allons pas le laisser seul diriger le pays, organiser les prochaines élections », explique le professeur Aimé Gogué.
Pour le pouvoir, l’idée qu’une modification de Constitution puisse interdire à un individu d’être candidat est inacceptable. Le facilitateur constate l’impasse et laisse du temps à chaque partie pour étudier les propositions.
La réponse de Jean-Pierre Fabre, chef de file de l’opposition : « Nous ne pouvons pas laisser Faure Gnassingé être candidat en 2020, ce n'est pas possible, il n'est pas question que nous l'acceptions. Donc nous avons donné les conditions d'éligibilité du président de la République : la limitation des mandats, avec la mention que nous ne lâcherons jamais. »
A ces points s’ajoutent le mode de scrutin uninominal à deux tours pour l’élection du président de la République, les prérogatives et le mode de désignation du Premier ministre, et la recomposition de la Cour constitutionnelle. Enfin, l’opposition ne compte pas laisser le président Faure Gnassingbé gouverner seul jusqu’en 2020. « A partir de 2020, il ne sera plus candidat. Il faut un gouvernement de transition, une transition de partage des responsabilités. Nous n'allons pas le laisser seul diriger le pays, organiser les prochaines élections », explique le professeur Aimé Gogué.
Pour le pouvoir, l’idée qu’une modification de Constitution puisse interdire à un individu d’être candidat est inacceptable. Le facilitateur constate l’impasse et laisse du temps à chaque partie pour étudier les propositions.
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