Depuis l’assassinat d’un policier à Mballing, il y a de cela quelques années, les plages de Warang et de Mbour font l’objet de contrôles rigoureux. Une véritable croisade a été lancée contre les barons de la drogue, dans une opération tolérance zéro menée par les forces de l’ordre. L’arrivée de l’Adjudant-chef Mbaye Seck, en 2011, commandant de la brigade de Mbour, a coïncidé avec la saisie record de plus d’une tonne de cocaïne à Nianing. Les pandores réussissent, avec cet exploit, à démanteler le réseau du trafic de drogue dure qui a été installé par des Latino-américains dans la petite Côte.
Pour y arriver, la gendarmerie a renforcé son réseau de renseignement, en travaillant avec les civils et les chefs de village et de quartier. Pour chaque renseignement, elle casque une somme de 50 000 F CFA. En effet, plus de 81 usagers, vendeurs et trafiquants ont été déférés au parquet par le commissariat urbain de Mbour. « Mais dans toute corporation il y’a des brebis galeuses », reconnaît un agent. « En cas de rafle ou d’une opération coup de poing, il peut y avoir un collègue, pour une raison ou une autre, qui file l’information à un de ses protégés pour lui éviter des ennuis. Seulement ajoute-t-il, n’y a pas une personne du milieu interlope qui fera un bon procès de ses de ses traqueurs ».
A Saly, par contre selon le journal « Enquête », c’est le trafic de drogue dure qui y fait rage. La brigade de recherche a saisi plusieurs képas d’héroïne et boulettes de cocaïne, d’où la nécessité d’instaurer une brigade recherche dans le futur commissariat qui tarde à démarrer.
Pour y arriver, la gendarmerie a renforcé son réseau de renseignement, en travaillant avec les civils et les chefs de village et de quartier. Pour chaque renseignement, elle casque une somme de 50 000 F CFA. En effet, plus de 81 usagers, vendeurs et trafiquants ont été déférés au parquet par le commissariat urbain de Mbour. « Mais dans toute corporation il y’a des brebis galeuses », reconnaît un agent. « En cas de rafle ou d’une opération coup de poing, il peut y avoir un collègue, pour une raison ou une autre, qui file l’information à un de ses protégés pour lui éviter des ennuis. Seulement ajoute-t-il, n’y a pas une personne du milieu interlope qui fera un bon procès de ses de ses traqueurs ».
A Saly, par contre selon le journal « Enquête », c’est le trafic de drogue dure qui y fait rage. La brigade de recherche a saisi plusieurs képas d’héroïne et boulettes de cocaïne, d’où la nécessité d’instaurer une brigade recherche dans le futur commissariat qui tarde à démarrer.
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