Accusé de trafic de drogue d’une quantité de 47 kg, Djibril Ba qui risque 15 ans de réclusion criminelle et 2 millions d’amendes nie les faits et parle d’une cabale montée de toute pièce contre lui. Le délibéré est fixé au 3 octobre prochain.
« J’ai été interpellé devant mon magasin de production cosmétique à Castor. La perquisition a été faite sans ma présence. Je ne suis pas un vendeur de drogue. Dans ma famille, personne ne fume de la cigarette encore moins du yamba. La drogue dont parle la police, ne m’appartient pas. Elle ne m’a été présentée dans mon domicile ni au commissariat. La drogue a été trouvée dans l’appartement que je partage avec d’autres personnes, pas dans ma chambre », a défendu Djibril BA.
Néanmoins, l’avocat général a requis 15 ans de réclusion criminelle a son encontre et 2 millions d’amende. Le délibéré est attendu le 3 octobre prochaine. Selon le parquet, les dénégations de l’accusé prouvent à suffisance que la Chambre criminelle est en face d’un homme « téméraire », qui après des déclarations circonstanciées devant les éléments enquêteurs de la police et le juge d’instruction a changé de fusil d’épaule pour se tirer d’affaire, livre ‘’Libération’’.
En effet, de l'ordonnance de renvoi devant la Chambre criminelle, il ressort que le 17 février 2022 suite à une information anonyme faisant état d'un intense trafic de drogue dans un immeuble R+3 à la zone de Captage, la police a fait une descente sur les lieux. Sur place, une planque a été organisée en attendant le mis en cause.
La fouille entreprise sur le coup, révèle la présence de deux sacs contenant 47 kg de drogue. Rudement interrogé au commissariat, Djibril Ba a déclaré de façon circonstanciée et sans ambages qu'il s'agissait, en vérité, d'un sac de 50kg de drogue dure dont 3 kg ont déjà été écoulés sur le marché. Charge suffisante en son encontre, il sera placé sous mandat de dépôt le 22 février 2022 pour le crime de trafic intérieur de drogue et présenté à a un juge d'instruction. Comme lui, ses avocats ont remis en cause la légèreté de l'accusation et sollicite l'acquittement pur et simple ou au bénéfice du doute à titre principal. A défaut, disqualifier les faits à titre subsidiaire en offre ou cession.
« J’ai été interpellé devant mon magasin de production cosmétique à Castor. La perquisition a été faite sans ma présence. Je ne suis pas un vendeur de drogue. Dans ma famille, personne ne fume de la cigarette encore moins du yamba. La drogue dont parle la police, ne m’appartient pas. Elle ne m’a été présentée dans mon domicile ni au commissariat. La drogue a été trouvée dans l’appartement que je partage avec d’autres personnes, pas dans ma chambre », a défendu Djibril BA.
Néanmoins, l’avocat général a requis 15 ans de réclusion criminelle a son encontre et 2 millions d’amende. Le délibéré est attendu le 3 octobre prochaine. Selon le parquet, les dénégations de l’accusé prouvent à suffisance que la Chambre criminelle est en face d’un homme « téméraire », qui après des déclarations circonstanciées devant les éléments enquêteurs de la police et le juge d’instruction a changé de fusil d’épaule pour se tirer d’affaire, livre ‘’Libération’’.
En effet, de l'ordonnance de renvoi devant la Chambre criminelle, il ressort que le 17 février 2022 suite à une information anonyme faisant état d'un intense trafic de drogue dans un immeuble R+3 à la zone de Captage, la police a fait une descente sur les lieux. Sur place, une planque a été organisée en attendant le mis en cause.
La fouille entreprise sur le coup, révèle la présence de deux sacs contenant 47 kg de drogue. Rudement interrogé au commissariat, Djibril Ba a déclaré de façon circonstanciée et sans ambages qu'il s'agissait, en vérité, d'un sac de 50kg de drogue dure dont 3 kg ont déjà été écoulés sur le marché. Charge suffisante en son encontre, il sera placé sous mandat de dépôt le 22 février 2022 pour le crime de trafic intérieur de drogue et présenté à a un juge d'instruction. Comme lui, ses avocats ont remis en cause la légèreté de l'accusation et sollicite l'acquittement pur et simple ou au bénéfice du doute à titre principal. A défaut, disqualifier les faits à titre subsidiaire en offre ou cession.