S. Ndiaye, un caïd à la tête d'une mafia de drogues dures entre Banjul et Dakar, est désormais derrière les barreaux. Réputé pour sa prudence et son expertise dans l’organisation de réseaux de stupéfiants, il a été piégé par les enquêteurs de la Division des investigations criminelles (Dic) grâce à une commande fictive de drogue dure.
D'après les informations relayées par Libération, le 17 novembre 2024, les policiers de la Dic, alertés par un renseignement sur un vaste trafic d’ecstasy et de méthamphétamine, ont mis en place une opération d’infiltration. Après plusieurs semaines de surveillance des mouvements de S. Ndiaye dans les quartiers de Yoff et Cambérène, le Groupe de recherches et d’interpellation (Gri) est passé à l’action.
Une commande fictive a été passée auprès du caïd, qui, obnubilé par l’appât du gain, a décidé de gérer lui-même la transaction. Au lieu convenu, il s’est présenté avec son complice M. Ndiaye à bord d’une moto, transportant deux lots de drogue : 61 pièces d’ecstasy en main et 140 autres dissimulées dans la malle de la moto.
Au moment de finaliser le "deal", les agents en civil ont révélé leur véritable identité, prenant S. Ndiaye au dépourvu. Ce dernier, interpellé sur le champ, a avoué être impliqué dans ce trafic, impliquant également une intermédiaire, une femme connue sous le nom de Kh., actuellement en fuite.
L’exploitation du téléphone de S. Ndiaye a révélé l’étendue de son réseau entre le Sénégal et la Gambie. Ses multiples déplacements et contacts confirment son rôle central dans l’approvisionnement et la distribution de drogues dures, notamment la méthamphétamine.
Les échantillons des drogues saisies ont été soumis à une expertise technique qui a confirmé leur nature. La Dic poursuit ses enquêtes pour démanteler le réseau et localiser la fameuse Kh., considérée comme un maillon important de cette mafia.
D'après les informations relayées par Libération, le 17 novembre 2024, les policiers de la Dic, alertés par un renseignement sur un vaste trafic d’ecstasy et de méthamphétamine, ont mis en place une opération d’infiltration. Après plusieurs semaines de surveillance des mouvements de S. Ndiaye dans les quartiers de Yoff et Cambérène, le Groupe de recherches et d’interpellation (Gri) est passé à l’action.
Une commande fictive a été passée auprès du caïd, qui, obnubilé par l’appât du gain, a décidé de gérer lui-même la transaction. Au lieu convenu, il s’est présenté avec son complice M. Ndiaye à bord d’une moto, transportant deux lots de drogue : 61 pièces d’ecstasy en main et 140 autres dissimulées dans la malle de la moto.
Au moment de finaliser le "deal", les agents en civil ont révélé leur véritable identité, prenant S. Ndiaye au dépourvu. Ce dernier, interpellé sur le champ, a avoué être impliqué dans ce trafic, impliquant également une intermédiaire, une femme connue sous le nom de Kh., actuellement en fuite.
L’exploitation du téléphone de S. Ndiaye a révélé l’étendue de son réseau entre le Sénégal et la Gambie. Ses multiples déplacements et contacts confirment son rôle central dans l’approvisionnement et la distribution de drogues dures, notamment la méthamphétamine.
Les échantillons des drogues saisies ont été soumis à une expertise technique qui a confirmé leur nature. La Dic poursuit ses enquêtes pour démanteler le réseau et localiser la fameuse Kh., considérée comme un maillon important de cette mafia.