Orange qui a lancé une plateforme électronique de transfert d’argent a vu ses ardeurs de développement international tempérées par la BCEAO. Selon nos confrères du journal «L’As », les directions de la BCEAO en Côte d’Ivoire, au Mali et au Sénégal ont adressé fin février des injonctions à Orange Finances Mobiles Mali, Orange Money Côte d’Ivoire et Orange Finances Mobiles Sénégal des injonctions. Celles-ci visent « à mettre fin, sans délai, aux opérations de transfère international d’argent qui sont hors du champ des activités qu’elles ont été autorisées à effectuer ».
D’après la même source citant une note explicative de la BCEAO, une mission de surveillance des systèmes et moyens de paiement de la BCEAO qui « a constaté qu’orange Finances Mobiles Mali, Orange Money Côte d’Ivoire et Orange Finances Mobiles Sénégal, proposent au public des services de transfert de fonds entre les pays de l’UEMOA et l’extérieur ». Ce que n’apprécie pas la BCEAO.
« Comme le précisent les dispositions pertinentes du Règlement relatif aux relations financières extérieures des Etats membres de l’UEMOA, ces opérations relèvent exclusivement de la compétence des établissements de crédit installés sur le territoire d’un Etat membre de l’UEMOA ayant reçu la qualité d’intermédiaires agréées », ce qui n’est pas le cas d’Orange.
En mars 2016, l’opérateur avait obtenu de la BCEAO trois agréments pour devenir établissement émetteur de monnaie électronique au Sénégal, au Mali et en Côte d’Ivoire.
D’après la même source citant une note explicative de la BCEAO, une mission de surveillance des systèmes et moyens de paiement de la BCEAO qui « a constaté qu’orange Finances Mobiles Mali, Orange Money Côte d’Ivoire et Orange Finances Mobiles Sénégal, proposent au public des services de transfert de fonds entre les pays de l’UEMOA et l’extérieur ». Ce que n’apprécie pas la BCEAO.
« Comme le précisent les dispositions pertinentes du Règlement relatif aux relations financières extérieures des Etats membres de l’UEMOA, ces opérations relèvent exclusivement de la compétence des établissements de crédit installés sur le territoire d’un Etat membre de l’UEMOA ayant reçu la qualité d’intermédiaires agréées », ce qui n’est pas le cas d’Orange.
En mars 2016, l’opérateur avait obtenu de la BCEAO trois agréments pour devenir établissement émetteur de monnaie électronique au Sénégal, au Mali et en Côte d’Ivoire.