La journaliste entrepreneur Hourèye Thiam qui dit avoir fait ‘’un lourd investissement’’ dans le transport et qui est ‘’en règle avec les lois et règlement du pays’’, a vu ses bus interdits d'accès à Saint-Louis par ‘’le Préfet’’. Selon elle, ce sont ‘’des transporteurs, ou certains chauffeurs’’ qui s’opposent à leur projet et qui sont soutenus par l’administration. Cette dernière qui devait les protéger à un certain niveau, a préféré se ranger du côté des chauffeurs. Elle parle ‘’d’injustice’’, et ‘’une violation’’ flagrante de ses droits. Elle a saisi les autorités compétentes pour les amener à prendre leur responsabilité.
« Nous vivons une situation depuis le mois de juin. Nous avions décidé d’investir dans les bus ultramodernes du secteur du transport pour pouvoir faire face à une demande en qualité dans le secteur du transport. Mais aussi une façon pour nous de combattre les accidents de la circulation. Au niveau du transport interurbain. Nous avions pensé que la meilleure façon d’apporter une réponse face à la recrudescence des accidents, c’était de renouveler et de mettre des bus dans la circulation, des bus de dernière génération avec des chauffeurs professionnels, avec un circuit préétablis et des horaires de départ », a déclaré Hourèye Thiam.
Poursuivant, la journaliste entrepreneur ajoute : « Nous avions investi cela pour en faire notre contribution à l’économie. Après de lourds investissements, malheureusement, nous avons fait face à des gens qui veulent nous barrer la route, des transporteurs, ou certains chauffeurs qui se sont opposé à notre projet sous prétexte qu’il est trop moderne pour faire face à la concurrence et qu'eux, risquent de ne plus avoir de client. Et l’administration qui devait nous protéger à un certain niveau, nous a laissées à nous-même et préfère se ranger du côté de ces chauffeurs. Et cela nous l’avons dénoncé parce que pour nous, c’est une violation flagrante de nos droits et de tout ce qui était l'égalité entre les citoyens ».
Mieux martèle Hourèye Thiam : « Il y a des milliers de bus qui roulent dans ce pays sans inquiéter. Nous avons écrit à toutes les autorités concernées, heureusement pour nous, la tutelle qui n’était pas au courant de ce problème, nous a donné raison et a demandé aux autorités déconcentrées au niveau de Saint-Louis de revenir à la raison et nous laisser travailler. Face à cet entêtement-là, nous avons pris l’opinion publique à témoin. Parce que nous avons vu des gens qui prennent des véhicules, des clandos pour venir barrer nos voitures ».
« Nous vivons une situation depuis le mois de juin. Nous avions décidé d’investir dans les bus ultramodernes du secteur du transport pour pouvoir faire face à une demande en qualité dans le secteur du transport. Mais aussi une façon pour nous de combattre les accidents de la circulation. Au niveau du transport interurbain. Nous avions pensé que la meilleure façon d’apporter une réponse face à la recrudescence des accidents, c’était de renouveler et de mettre des bus dans la circulation, des bus de dernière génération avec des chauffeurs professionnels, avec un circuit préétablis et des horaires de départ », a déclaré Hourèye Thiam.
Poursuivant, la journaliste entrepreneur ajoute : « Nous avions investi cela pour en faire notre contribution à l’économie. Après de lourds investissements, malheureusement, nous avons fait face à des gens qui veulent nous barrer la route, des transporteurs, ou certains chauffeurs qui se sont opposé à notre projet sous prétexte qu’il est trop moderne pour faire face à la concurrence et qu'eux, risquent de ne plus avoir de client. Et l’administration qui devait nous protéger à un certain niveau, nous a laissées à nous-même et préfère se ranger du côté de ces chauffeurs. Et cela nous l’avons dénoncé parce que pour nous, c’est une violation flagrante de nos droits et de tout ce qui était l'égalité entre les citoyens ».
Mieux martèle Hourèye Thiam : « Il y a des milliers de bus qui roulent dans ce pays sans inquiéter. Nous avons écrit à toutes les autorités concernées, heureusement pour nous, la tutelle qui n’était pas au courant de ce problème, nous a donné raison et a demandé aux autorités déconcentrées au niveau de Saint-Louis de revenir à la raison et nous laisser travailler. Face à cet entêtement-là, nous avons pris l’opinion publique à témoin. Parce que nous avons vu des gens qui prennent des véhicules, des clandos pour venir barrer nos voitures ».
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