Alors que Fabienne Kabou vient d’écoper de 20 ans de prison ferme pour avoir jeté son enfant de 15 mois dans la mer, la chanteuse Sénégalaise Philomène Diohine Sène qui a fait bien pire, risque d’échapper à la Justice des hommes. La Cour d’appel de Paris l’a déclaré pénalement irresponsable. En clair, elle est atteinte mentalement et ne pourrait être jugée pour ses actes.
L’ordonnance a été attaquée par son marie dont l’avocat a fait un pourvoi en cassation qui a peu de chance d’aboutir. Car les experts sont formels : Philomène Sène souffre de trouble graves. En effet, le 2 février 2013, elle avait tué ses trois enfants âgés respectivement de 10, 14 et 16 ans. Un drame qui avait secoué la localité de Dampmart où logeait cette famille sans histoire. Il se trouve que devant le juge instructeur, la dame, interpellée en flagrant délit, a déclaré avoir un trou de mémoire. Elle ne se souvient absolument de rien et tout ce dont elle est sûre c’est que depuis ce jour-là, elle entend des voix, la nuit surtout. Un de ses proches explique que c’est la seul explication qu’elle a fournie au juge.
« Si c’est moi, je ne mérite pas de vivre mais je sais que ce n’est pas moi », a-t-telle affirmé. Les experts qui l’ont consulté ont conclu à un « trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrôle des ses actes au moment des faits ». Philomène Sène sera-t-elle sauvée par sa folie ? On aura la réponse dans les prochains jours.
L’ordonnance a été attaquée par son marie dont l’avocat a fait un pourvoi en cassation qui a peu de chance d’aboutir. Car les experts sont formels : Philomène Sène souffre de trouble graves. En effet, le 2 février 2013, elle avait tué ses trois enfants âgés respectivement de 10, 14 et 16 ans. Un drame qui avait secoué la localité de Dampmart où logeait cette famille sans histoire. Il se trouve que devant le juge instructeur, la dame, interpellée en flagrant délit, a déclaré avoir un trou de mémoire. Elle ne se souvient absolument de rien et tout ce dont elle est sûre c’est que depuis ce jour-là, elle entend des voix, la nuit surtout. Un de ses proches explique que c’est la seul explication qu’elle a fournie au juge.
« Si c’est moi, je ne mérite pas de vivre mais je sais que ce n’est pas moi », a-t-telle affirmé. Les experts qui l’ont consulté ont conclu à un « trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrôle des ses actes au moment des faits ». Philomène Sène sera-t-elle sauvée par sa folie ? On aura la réponse dans les prochains jours.